Auteur/autrice : Jonathan Estevez

  • Sony Xperia Z, une image à son image

    Sony Xperia Z, une image à son image

    XperiaComme promis, je me suis donc arrêté à l’image que renvoie le Sony Xperia Z cette semaine. Au programme, son design et son écran.

    Le design

    Personne n’ignore que l’Xperia Z est résistant à l’eau. Pour ce faire, Sony a utilisé plusieurs systèmes afin de le rendre parfaitement étanche à l’eau et à la poussière.

    Le haut du Sony Xperia Z

    La première est l’utilisation d’un fin ruban de caoutchouc sur les bords du téléphone, ce qui a le double avantage de le rendre hermétique, mais aussi résistant aux petits chocs.

    Bord du Sony Xperia Z

    Les différents orifices pour le port USB, la prise jack pour le casque, le connecteur de la carte microSD ou de la carte sim se retrouvent derrières de petites plaquettes assez faciles à ouvrir sans l’obligation d’utiliser un outil extérieur.

    Orifice du port USB et microSD du Sony Xperia ZOrifice de la prise jack du Sony Xperia ZOrifice de la carte sim du Sony Xperia Z

    Le modèle que j’ai reçu est noir, il a une particularité assez rare pour un smartphone, la face arrière fait l’effet d’un léger miroir. De quoi permettre aux femmes de se maquiller ou encore, par les hommes et les femmes, de l’utiliser pour bien positionner l’objectif lors d’un autoportrait avec l’objectif arrière haute résolution.

    Effet miroir du Sony Xperia Z

    Autre aspect du design, c’est celui d’une bonne finition, loin de l’aspect plastic bas de gamme et ayant ainsi une certaine classe. Surtout avec ce petit bord de couleur légèrement mauve.

    Le Sony Xperia Z

     L’écran

    Dans la photo suivante, qu’ont les deux écrans en commun ?

    SonyBig&Small

     

    La réponse est assez simple, le nombre de pixels de l’écran est identique, pour une taille de presque 10 fois plus petite pour l’Xperia Z.
    La dalle de l’écran du Sony Xperia est un TFT de 5 pouces. Il offre 16 millions de couleurs pour une résolution de 1920×1080.

    J’ai eu l’occasion depuis que j’ai le téléphone en main de le comparer à d’autres modèles. Celui qui m’a le plus frappé est la comparaison avec le Nokia Lumia 920. Nous avions mis la vidéo de démonstration du Sony Xperia Z sur chacun d’eux. Et la réponse fut unanime d’après mon public, le Nokia à une image plus jaune et le Sony bien plus blanc. Ce qui donna par contre des divergences sur lequel était meilleur.
    Entre-temps, Sony a déployé la mise à jour 10.1.1.A.1.253 en Belgique. Cette mise à jour apporte un certain nombre de nouveautés, dont un nouveau paramètre permettant de gérer la balance des blancs. De quoi pouvoir configurer en fonction de ses envies les couleurs.

    Balance de blanc Xperia Z

    La batterie

    Le dernier point que je voulais aborder est la batterie, j’avoue avoir eu dur au début. Un grand écran veut que la consommation soit plus conséquente qu’un téléphone de plus petite taille. Dans l’absolu c’est assez vrai, mais la batterie de 2330 mAh s’avère suffisante dès que les premiers cycles complets de chargement sont faits, et surtout depuis la dernière mise à jour. J’obtiens même au final une meilleure autonomie que d’ancien téléphone ayant un écran de 4 pouces.

    La semaine qui viens va me permettre de tester les deux capteur photo du smartphone, résultat la semaine prochaine.

    Et petit conseil du jour :

    Ne prêtez pas votre Xperia Z à une fille, elle l’utilisera comme miroir 😉

  • Belgacom VDSL : les limites de la technique

    Belgacom VDSL : les limites de la technique

    Logo BelgacomLe samedi 4 mai 2013, je constate dans l’interface de ma b-box2 que la synchronisation de ma ligne est de 30 Mb/s et plus 50 Mb/s comme depuis décembre 2012.

    Belgacom30

    Je prends donc contact le lundi 6 mai avec Belgacom, qui après vérification m’annonce qu’il n’y a aucun problème sur ma ligne, aucune déconnexion, aucun problème constaté. Cela fait dire à la personne qu’il doit s’agir d’un problème à un petit défaut constaté lors de la vérification de la ligne par le robot. Cela devrait revenir à la normale après quelques jours.

    Le 14 mai toujours aucun changement. Je prends donc contact avec Belgacom_eva sur Twitter.

    La réponse obtenue par message privé est simple, le changement peut subvenir du jour au lendemain en fonction des tests de lignes. Cette mise à jour peut par contre me faire revenir à nouveau à 30 Mb/s si les interactions entre les lignes posent problème.

    Pourtant, depuis environ le 6 novembre j’étais à 40Mbps

    Et depuis environ le 29 décembre à 50Mbps

    En fin de compte, je pourrais attendre jusqu’à 9 semaines, si la qualité globale des lignes pose problème. Fonctionner pendant 6 mois à 50Mbps n’est en rien un gage, tout peut changer du jour au lendemain, que ce soit lié à notre propre ligne ou à la ligne d’un voisin qui influence la nôtre.

    En attendant, je vais me « contenter » à nouveau de 30 Mb/s avec mes 3 TV en HD. Ce que certains diront qui est pas mal, mais on s’habitue vite à plus.

    La morale de l’histoire, si sur papier la technologie permet pas mal de choses, la physique à des effets qui ne sont pas forcément prévisibles aussi précisément. Même si la bande passante est dédiée entre la centrale et le modem de l’utilisateur. L’influence entre utilisateurs est elle réelle.

  • Vers un gordel 4G ?

    Vers un gordel 4G ?

    4G-RingBelgacom a récemment mis à jour la carte de couverture de son réseau mobile 4G.

    Les plus grandes zones de couverture se retrouvent aux abords d’Antwerpen (Anvers), Gent (Gand) et surtout la côte, ce qui est plus frappant c’est la couverture de la zone qui entoure la région Bruxelloise.

    Les abords du ring de Bruxelles comme zone à couvrir ?

    Ainsi, les villes et communes que sont Groot-Bijgaarden, Zellik, Meise, Peutie, Perk, Overijse, Rode-Saint-Genese, Waterloo, Ophain-Bois-Seigneur-Issac et Wauthier-Braine sont au moins en partie couvertes en 4G.

    Le ring de Bruxelles comporte à ces abords un grand nombre de zonings d’activité économique. À défaut de pouvoir couvrir le centre de la région Bruxelloises, c’est les abords qui profitent actuellement des investissements.

    Certes tout le tour ne sera pas forcément couvert directement en 4G, certaines zones étant assez vertes, mais potentiellement d’autre zone pourraient suivre et on se retrouverait avec une couverture circulaire autour de la région. De quoi encore plus isoler la région pour certaines activités ou investissements.

    Le futur ?

    Reste à voir aussi la logique que mettront en avant les deux autres opérateurs.

    De la 4G de Base a été détecté à Mechelen (Malines) il y a peu, et on sait Mobistar très actif par exemple à Antwerpen.

    Belgacom lui commence à aller de plus en plus vite pour la couverture en 4G du territoire, et ne se contente pas que des grandes villes non plus. Une logique très différente qui avait été utilisée lors du début de la couverture en 2G et même en 3G.

  • Sony Xperia Z, un tout terrain rempli de chose indispensable

    Sony Xperia Z, un tout terrain rempli de chose indispensable

    XperiaCe Sony Xperia Z est un parfait compagnon de route, il vous accompagnera dans tous les moments de votre vie et vous rendra la vie plus facile. Certains diront qu’ils comportent des choses inutiles. Mais comme dirais Jêrôme Bonaldi :

    C’est totalement inutile et donc rigoureusement indispensable

    Résistance à toute épreuve

    Comme première chose, il y a bien sur sa résistance IP55/57, de quoi résister à l’eau et à la poussière. Beaucoup de gens diront qu’il suffit de faire attention, et qu’aller sous sa douche est inutile. Mais qui n’a jamais sorti son smartphone sous une drache en Belgique avec la peur de le noyer ? À combien de personnes est-ce déjà arrivé de le faire tomber dans les toilettes, un évier, etc. Plus d’informations dans le premier article : Le Sony résistant à tout, l’Xperia Z

    Faire plein de choses ou en faire faire réellement même quand on est fainéant 

    Le second est une technologie fort nouvelle pour le grand public, le NFC pour near field communication ou en français Communication en champ proche. Le principe est de plaquer son smartphone à moins de 10 cm d’un périphérique communiquant via cette norme, telle qu’un autre smartphone, une tablette ou de simples autocollants intégrant un mini circuit inactif.

    Je test depuis peu, la configuration d’autocollant afin que le Sony Xperia Z réalise des tâches préprogrammer. J’ai ainsi installé des autocollants à divers endroits, et grâce à la fonctionnalité de double configuration, fin des activations à l’entrée et à la sortie.

    • À la porte de mon domicile
      • À l’entrée : afin d’activer le WiFi, désactiver le Bluetooth et le GPS, changer la luminosité de l’écran et changer le volume sonore.
      • À la sortie : afin de désactiver le WiFi, activer le GPS, adapter la luminosité et le volume sonore.
    • À la porte de mon lieu de travail
      • À l’entrée : Afin de faire un check-in sur Foursquare, activer le WiFi, désactiver le Bluetooth et le GPS et adapter le volume et la luminosité.
      • A la sortit afin de désactiver le WiFi, d’activer le GPS et d’adapter la luminosité et le volume sonore.

    Je suis encore occupé à voir comment bien l’utiliser dans mon véhicule, sur ma table de nuit et à d’autres endroits. Toujours est-il que le NFC permet de réaliser des tâches que l’on ne faisait pas forcément avant principalement parce qu’elles prennent trop de temps. Mais le faites de réduire cette tâche à passer son téléphone sur un endroit réduit fortement les contraintes, mais permet par exemple de mieux exploiter son smartphone ou d’augmenter sensiblement l’autonomie de votre Xperia Z.

    La console de jeu

    Sony est une des entreprises connues pour son investissement dans les jeux vidéo, via entre autres la marque PlayStation. Autant dire que cette connaissance a été mise dans la fabrication du téléphone. Une belle puissance de calcul, un écran de qualité HD de très bonne qualité. J’ai ainsi eu l’occasion de jouer à des jeux assez lourds tels :

    Pour plusieurs jeux, la taille de téléchargement et surtout sur disque atteint pas loin d’un gigaoctet autant dire que ce sont déjà de beau gros jeu, la qualité des images n’y est pas étrangère. Et j’avoue avoir moi-même été étonné de ne souffrir d’aucun problème, pas de lenteur ou d’effet de saut pendant le jeu. Et surtout un temps de chargement très court entre chaque niveau.

    Certains diront qu’avoir une console de jeu dans sa poche est inutile, jusqu’au jour ou vous attendez pendant 1 h dans une salle d’attente avec de vieilles revues. Votre smartphone vous aidera à passer le temps de façon sympathique.

    Puissance de calcul

    Avoir une grosse puissance de calcul pure est bien sur papier, mais le mieux est qu’elle soit bien canalisée afin de pouvoir bien l’exploiter au bon moment.  Et on peut dire que c’est le cas avec ce téléphone, je n’ai remarqué aucun problème de lenteur ou de ralentissement, même en laissant en sommeil plusieurs gros jeux. Alors que c’est la chose que je remarque avec une Nexus 7 avec de simples applications en sommeil. Aucun problème non plus avec le lancement simultané de plusieurs applications qui tourne en tache de fond.

    L’accès au réseau 4G

    Actuellement, le réseau de nouvelle génération 4G fait beaucoup parler de lui à Bruxelles. Pourtant, il vous suffit d’être dans une zone 4G, et d’avoir rapidement besoin d’une information venant d’internet pour vite comprendre que c’est fort pratique. Et comme la 4G n’est pas encore disponible partout, le Xperia Z est équipé des toutes dernières technologies sur le réseau 3G. Appelée dual Carrier, cette technologie permet des vitesses théoriques de 42 Mbps. En pratique, vous êtes aux alentours de 15 Mbps, de quoi surfer à une vitesse plus que raisonnable, même lorsque votre smartphone partage sa connexion internet par WiFi, par USB ou par Bluetooth.

     

  • Le Sony résistant à tout, l’Xperia Z

    Le Sony résistant à tout, l’Xperia Z

    XperiaFin avril, j’ai remporté un concours afin d’être ambassadeur du Sony Xperia Z, le dernier fleuron de la marque.

    En tant qu’ambassadeur, j’ai donc reçu en prêt un Xperia Z modèle C6603 noir. J’avais bien sûr lu la fiche produit bien avant et remarqué qu’il était par exemple résistant à l’eau. Mais quelle surprise quand lorsque j’ai reçu la boite, elle était vide. Et qu’au lieu de ça, nous avons récupéré le téléphone dans un aquarium.

    Bien sûr, à peine sorti de l’eau, j’ai allumé le smartphone. Et là, j’ai eu un premier choc, il fonctionne parfaitement alors qu’il dégouline encore d’eau. Au moins c’est sur, je n’aurai pas peur de prendre une douche avec.

    Cette semaine, je me suis donc amusé à l’utiliser dans des conditions que je n’aurai pas faites avec un autre modèle.

    Par exemple en versant divers pékets dessus.
    Sony Xperia Z au Peket

    À filmer l’eau qui lui tombe dessus sous une douche

    Plonger entièrement le smartphone dans l’eau

    Une petite vidéo bonus 😉

    Tout ça est bien beau, mais ce ne sont que des situations presque atypiques. Par contre en Belgique vu la météo, n’avoir pas peur de sortir son GSM sous la pluie est fort utile. Tout comme résister à une chute dans l’eau des toilettes ou dans un évier.

    Pour ma part ce que j’apprécie c’est de pouvoir l’utiliser sans aucun risque dans ma salle de bain, le prendre alors que mes mains sont mouillées, regarder une vidéo sous la douche ou encore dans le bain.

    Lors de cette première semaine, je l’ai bien sûr montré à un certain nombre de gens. Des collègues, des amis, de la famille. J’ai reçu pas mal de remarques :

    • Il s’agit du GSM de James Bond :
      Non le GSM de James Bond est le Xperia T, mais une preuve que la marque Sony Mobile commence à être connu.
    • Il est très grand :
      Si on compare à d’autres modèles qui existe actuellement sur le marché, il est certes un peu plus grand, mais au final ce n’est qu’une impression. Il a la même taille qu’un Samsung Galaxy S3. Un rien plus grand que les iPhone
    • Ils résistent à l’eau ? Montre ?
      Oui ils résistent à l’eau. Mais le voir de ses propres yeux y résister est autre chose. Surtout quand on le fait tous les jours et qu’il ne souffre d’aucun problème.

    Ayant pas mal de téléphones qui passent dans mes mains. J’avoue avoir été bluffer par plusieurs choses :

    1. La qualité et la puissance du téléphone
    2. La finition très propre de l’appareil
    3. Un appareil photo et une suite de logiciel harmonieuse et facile

    Ce sera les thèmes que j’aborderais lors des trois prochaines semaines.

     

  • GLPI, le gestionnaire libre de parc informatique

    GLPI, le gestionnaire libre de parc informatique

    GLPI est une application écrite en PHP et utilisable par les navigateurs internet modernes. Il suffit d’installer les différents fichiers sur un serveur pouvant traiter le code PHP pour rendre disponible à tout le monde sont interface.

    Lors de mon arrivée dans mon entreprise, il y a maintenant 6 ans, le service informatique n’avait rien pour gérer et traiter les demandes des utilisateurs et faire la maintenance du parc informatique. Après un grand nombre de recherches, nous avons opté pour le couple GLPI et OCS Inventory NG. GLPI pour le support et la gestion et OCS pour l’inventaire du parc informatique. (suite…)

  • Android : Plus d’ouverture et de choix. La sécurité plus problématique.

    Android : Plus d’ouverture et de choix. La sécurité plus problématique.

    android_nameLe système d’exploitation Android est une création d’une société portant le même nom, que Google a rachetée en aout 2005. Depuis, le projet est open source et est dirigé par Google. Ce système d’exploitation est à ne pas le nier, de grands points communs avec son concurrent  iOS.

    logo_googleContrairement à Apple, Google développe un système d’exploitation qui est mis à dispositions des constructeurs. Certains comme Samsung et HTC respectent des règles dictées par Google. Ils personnalisent avec leur surcouche constructeur et ont le droit de mettre le magasin d’application de Google (Google Play). C’est ce que fait par exemple Samsung, HTC ou Sony.
    logo amazonD’autres comme Amazon récupère uniquement la partie open source du système comme basent à leurs propres systèmes autonomes. Ils mettent alors leurs propres magasins d’applications. Ce qui leur assure des rentrées financières supérieures avec les commissions qu’ils perçoivent avec celui-ci.

     

    De par le faite que le logiciel soit fait par une entreprise, et le matériel par une autre. L’intégration est un peu moins poussée, tous se basent sur ce que propose Android avec quelques ajouts propre. Mais en contrepartie, les utilisateurs ont un plus grand choix de matériel. La marque et son image, un choix de taille, de fonctionnalités, et d’éventuels services ajoutés.
    Par contre, ce niveau supplémentaire pose quelques problèmes aux impatients, chaque constructeur doit refaire l’intégration de la nouvelle version d’Android pour chaque téléphone, tablette et autres systèmes ayant Android comme OS. Cette nouvelle version est une perte d’argent pour le constructeur. Le constructeur se rattrapera sur l’image de marque qu’ils auront avec le maintien dans la dernière version d’Android au moins une partie du parc existant. De plus, le modèle Android se veut plus proche des opérateurs, et donc les opérateurs ont leurs mots à dire dans le moment ou est déployée cette mise à jour sur les modèles vendus sous leurs « références ». En pratique, un pays pourra recevoir une mise à jour, alors que dans d’autres pays, les acheteurs devront au mieux attendres de longs mois.

    google-play-logoCette centralisation par Google au-dessus des constructeurs permet aux clients d’acheter des applications sur le Play Store, et pouvoir changer de marque de matériel et retrouver ses applications. Mais la contrepartie est la perte dans un certain nombre de cas de la logique du constructeur concernant la surcouche. Un petit temps d’adaptations sera nécessaire entre marques.

    Android ayant une culture un peu plus ouverte qu’iOS ou même Windows Phone, ils permettent l’installation d’application ne venant pas d’un magasin d’application. Un exemple récent est la disparition de l’application Adblock du Play Store. Cela a eu comme résultats que l’équipe en charge de cette application la proposer directement sur son site et les utilisateurs peuvent l’installer manuellement après l’autorisation de l’installation d’application ne venant pas du store. Mais cette ouverture à un prix pour la sécurité. Google à un mécanisme vérifiant le code des applications, il est à la base moins poussé que celui d’Apple. Mais l’ouverture à l’installation d’applications venant de site internet potentiellement moins sûr doit se faire aux risques et périls de l’utilisateur. Cette option n’est clairement pas faite pour les gens ayant des données sensibles sur leurs appareils ou les gens ne sachant pas trop ce qu’ils font.

    Cette grande ouverture du marché d’Android apporte aux développeurs leurs lots de problèmes. Cette énorme variante d’appareil impose aux développeurs de tenir d’un plus grand nombre de configuration matérielle. La taille d’écran, la puissance de la machine, les option disponible telle que le GPS, le Bluetooth … autant de raisons pour laquelle les applications technologiquement avancées sortent régulièrement en premier sur iOS et éventuellement ensuite sur Android. L’argent étant toujours ce qui dirige les choix des entreprises.

    Prochain épisode : Windows Phone

  • Outlook 2013 – Mode compact sans les premières lignes du mail

    Outlook 2013 – Mode compact sans les premières lignes du mail

    Outlook 2013 LogoPetite astuce, si comme moi vous utilisez Microsoft Outlook 2013, lorsque vous affichez la liste des messages en mode compact, Outlook affiche le sujet, la date, l’expéditeur, mais aussi la première ligne de l’email. L’option permettant de supprimer cette première ligne n’est plus au même endroit que les anciennes versions d’Outlook.

    Cette option a été intégrée à la logique ruban de Microsoft Office. Il faut tout simplement se rendre dans l’onglet Affichage, là vous trouvez le bouton Aperçu du message.
    Lorsque vous cliquez dessus, vous pourrez tout simplement choisir de désactiver ou d’afficher entre 1 et 3 lignes.

    Outlook 2013 - Affichage

  • La fin du RSS ? Pas pour moi !

    La fin du RSS ? Pas pour moi !

    Avec la disparition de Google Reader, un grand nombre de personnes écrivent que c’est la fin du RSS qui pousse en partie Google à supprimer le service.

    Certes, demander à n’importe qui ce qu’est le RSS. Peu sauront ce que c’est, et encore moins l’utilisent consciemment ou non.

    Mais une phrase bien connue est « Je ne suis pas tout le monde ». Rien ne me permet pour l’instant de remplacer ma façon de consommer l’information.J’aime lire les titres, et seulement lire les détails si l’envie s’en fait sentir. Ensuite, je ne veux pas de commentaire inutile dans un premier temps. Le RSS est parfait pour ça. Pourtant, on essaye de me faire passer à d’autres moyens.

    Twitter

    Ce réseau social pourrait être un bon remplaçant en théorie, malheureusement en pratique ça ne l’est pas. D’abord parce que tous les sites n’ont pas forcément un compte Twitter. Ensuite parce que tous les sites n’ont pas forcément un compte dédié à l’actualité. Vous avez soit un compte personnel où sont aussi publiées les nouvelles. Ou alors , ils ont un compte qui sert aussi bien à l’actualité du site qu’à la relation avec les visiteurs ou à la retransmission d’information.

    Facebook

    Le plus gros réseau social pourrait être aussi une alternative. Grâce au système de page, beaucoup de sites en ont une. Mais ici aussi, ce n’est pas forcément tous les sites qui publient les actualités sur une page. De plus, les règles de Facebook font que nous n’allons voir que 20% des publications. Sauf si ceux qui publient payent. Autant dire que le système n’est pas optimal pour être sûr de ne rien manquer. Sauf aller explicitement sur la page, mais là autant aller sur le site directement.

    Google+

    L’alternative de Google reste son propre réseau social. Mais ils ont encore un grand problème, rien ne permet encore de publier automatiquement sur le site. Autant dire que peu de sites publient directement leurs informations sur le réseau.

    Mon système

    Avec la disparition de Google Reader, et de ses applications mobiles. J’ai décidé de prendre Feedly. Un système ayant une interface assez « spéciale ». Mais qui me permet de continuer de consommer de la même façon. Sans rien rater des quelques sites que je souhaite suivre. J’utilise en parallèle les réseaux sociaux pour découvrir de nouveau site ou lire sporadiquement sur d’autres sujets.

  • iPhone, iPad & iPod ont en commun iOs, un système d’exploitation facile mais fermé

    iPhone, iPad & iPod ont en commun iOs, un système d’exploitation facile mais fermé

    On parle beaucoup ses derniers temps de la guerre entre systèmes d’exploitation sur plateforme mobile. Nous avons : iOS, qui équipe les produits Apple, Android qui équipe maintenant 70% du marché, Windows Phone de Microsoft, ainsi que d’autres, beaucoup plus récents, voire en projet, tel que BlackBerry, Tizen, Firefox OS et Ubuntu Phone.

    Chaque produit à sa spécificité et une direction particulière même si chaque OS se dit universel. Pour développer mon idée, je vais parler au travers d’une série d’articles d’un point fort et des points faibles dans mon cas de chaque système d’exploitation.

    Le premier est consacré à iOS, le système d’exploitation d’Apple.

    iOS

    Sorti sur le premier iPhone en juin 2007, il équipe depuis aussi les iPad et iPod.
    Ce tout nouveau système d’exploitation a été le signal de départ pour une nouvelle ère de mobilité. Il ne contenait pas forcément de grandes nouveautés, par contre il était le premier à les rassembler en un seul produit et à le faire connaitre au grand public.

    Le point fort d’Apple vient probablement de ce qui en fait un succès, du bon matériel avec un logiciel taillé sur mesure. Apple peut se permettre d’avoir, sur papier, une puissance plus faible, cette intégration inversera grandement la puissance relative que vivra au quotidien l’utilisateur. Mais cela est pourtant aussi un point faible, Apple étant le seul constructeur à vendre du matériel compatible iOS, les clients se voient obliger de suivre la direction qu’impose Apple, au risque de perdre tous ses achats sur l’App Store en passant sur une autre plateforme.
    Cette approche du marché de la part d’Apple leur permet d’avoir une main mise complète sur l’appareil, ils peuvent alors bloquer des fonctionnalités justes parce qu’ils ont envie. Le dernier exemple en date est la 4G, ils ont fait le choix de ne délivrer qu’une partie du spectre de la 4G matériellement, mais aussi de n’ouvrir la 4G que sur certains réseaux pour des raisons pas toujours très claires.
    Il y a toutefois encore un point assez positif de cette gestion, les mises à jour sont déployées de façon globale. Tout le monde en même temps et sur tous les iDevices. Même si les modèles plus anciens n’ont pas forcément toutes les dernières nouveautés. Bien sûr comme toute autre marque, il arrive un moment ou ils ne sont plus mis à jour.

    Dans l’optique de faciliter l’usage, Apple met en avant la sécurité de son environnement. Ils autorisent l’installation d’application venant exclusivement de l’App Store. Toutes les applications sont ainsi vérifiées et celle ayant un problème avec la charte ne sont pas autorisée. Cette charte comprend deux groupes de motifs de refus : ceux où la sécurité des données de l’utilisateur peut-être compromit et ceux où il pourrait poser des problèmes à Apple suivant leur code de bonne conduite. Pas d’application rentrant en concurrence avec un des leurs, ceux n’utilisant pas certaines de leurs technologies telles que l’achat in app ou encore ceux ayant un contenu qui ne leur plaisent tout simplement pas. Mais un des buts est aussi d’être l’unique moyen d’installer des applications, et dans le cas d’une application payante, prélever 30% du prix de vente, argent utilisé entre autres pour payer les gens derrière le processus de validation.

    La force des produits iOS étant sa facilité d’utilisation, la logique utilisée sur tous les produits reste toujours la même, ainsi que dans toutes les applications du système. L’accès aux menus, aux réglages ainsi qu’aux interfaces communes. Mais cette harmonisation à un point faible, les contraintes graphiques et techniques limites en partie l’innovation et la différenciation entre applications.

    Pour continuer à rendre tout facile à n’importe qui, Apple sort de nouvelles technologies propriétaires. On retient par exemple la connectique telle que le câble de connexion lightning, la technologie de diffusion de musique Airplay, ou encore l’impression facile via Airprint. Mais voilà, en faisant ça Apple s’isole du reste du monde informatique. Chaque technologie a souvent une version déjà harmonisée, mais avec une finition moins grande. Ce qui rend leurs utilisations bien plus difficiles. Le second point est qu’en utilisant des technologies ouvertes, Apple ne pourrait pas imposer un cahier des charges important tout en revendant des licences aux produits tiers sélectionnés.

     Prochain épisodes : Android