Après 6 semaines chez Base, beaucoup de positif

Base Sim CardFin septembre, je passais de Proximus où j’avais une carte « Generation Connect » à Base avec son offre « Base Check ».
J’avais quitté il y a quelques années Base puis Mobile Vikings pour Proximus à cause de la 3G qui était très lente et peu rependue.

Mais voilà, après 6 semaines chez Base, je vous livre mon avis assez positif sur ce changement.

Le réseau

Le retard de Base sur la couverture du réseau a presque totalement disparu. Le signal reste régulièrement plus faible chez Base par rapport à Proximus. Mais sans jamais en manquer comme on pouvait l’avoir auparavant. Et niveau couverture, la qualité du smartphone peut avoir une énorme influence aussi là dessus.

Jamais d’attente interminable, la vitesse est suffisante même pour de la vidéo en HD. Pas de latence énorme lorsque l’on surfe sur internet. Si on lance des speedtest, la vitesse sera clairement un rien plus faible que chez Proximus. Toutefois, d’un point de vue de l’utilisation avec un smartphone, cela ne se ressent vraiment pas. Je peux tout utiliser comme avant.

Étant principalement à Bruxelles, la 4G n’est pas encore un argument pour moi. Et une fois qu’il le sera, les trois opérateurs seront probablement au coude à coude dans la capitale.

Concernant la consommation de mon smartphone, je n’ai pas vu une grande différence. J’ai au pire perdu 1 h d’autonomie certains jours par rapport à Proximus. Mais la plupart du temps, je garde une autonomie équivalente.

L’administratif

Pour la facturation, je n’ai rien à redire. Une facture claire, notifications par mail et par SMS (j’ai choisi l’e-facturation).
On peut y voir le détail complet, la liste des appels, des SMS, le total des sessions internet. Seul petit bémol, qui est peut-être plus une curiosité, l’absence de résumé sur le nombre de SMS envoyés ou sur le type d’appels.

Le négatif

En 6 semaines, le seul réel problème que j’ai eu c’est l’impossibilité d’envoyer une fois un SMS. Mais un redémarrage de mon smartphone a réglé le problème. Ce n’était donc pas forcément lié à Base.

Si en général je suis satisfait, ce qui me manque par rapport à Proximus, c’est l’équivalent de son application « Hello ». Chez Base, la seule solution est d’envoyer un SMS. Un SMS en retour vous informe de votre crédit data et minutes gratuites restantes. Heureusement, la fonction est facilement accessible par le menu de la carte SIM pour l’envoi du bon message.

Ou en est-on avec la 4G en Belgique ?

Avec le lancement du réseau 4G de Proximus à l’automne 2012, la Belgique est sur la carte mondiale du LTE. Mais un an après, où en est-on ?

BelgacomLa 4G en Belgique chez Proximus

Au lancement, Proximus avait un réseau déployé dans 8 villes belges.
Onze mois après, le premier opérateur dans l’aventure 4G  dépasse les 100 zones (villes) couvertes.

Voici où en est le déploiement du réseau 4G de Proximus.
Proximus

 

BaseLa 4G en Belgique chez Base

Le 1er octobre 2013,  Base lance à son tour une offre commerciale de nouveau réseau 4G.
Au total, ils annoncent 15 villes couvertes. 11 en Flandre et 3 en Wallonie, et Base promet que ce n’est qu’un début.

Base

Logo MobistarLa 4G en Belgique chez Mobistar

Concernant le troisième réseau belge, rien n’est encore lancé commercialement. Ils ont commencé des tests grandeur nature en 2012 dans les environs d’Anvers.
Ils ont toutefois annoncé ce premier octobre qu’ils vont élargir les zones de test d’ici la fin 2013. Une offre commerciale devrait apparaître d’ici début 2014.

Où en est-on commercialement avec la 4G en Belgique ?

BelgiumLes approches choisies par Proximus et par Base sont assez proches. Offrir l’accès au réseau 4G uniquement dans les forfaits les plus élevés. On retrouve une approche équivalent chez les opérateurs français.
Une différence existe toutefois pour Proximus, ils proposent une option offrant l’accès au réseau 4G pour les forfaits qui ne l’inclut pas.

Concernant la vitesse de téléchargement, les deux opérateurs présents annoncent une vitesse réelle de 20 Mb/s. Théoriquement et dans certaines conditions en pratique, elle peut monter facilement à plus de 50 Mb/s.
Dans le sens de l’envoi, la vitesse pour les deux devrait dépasser les 12 Mb/s en pratique.

En savoir plus

Passage à Base sans soucis

BaseCheckComme tous les six mois environ, j’analyse mes différents abonnements que j’ai et ce qui est proposé sur le marché. J’ai donc décidé de changer ma carte prépayée Proximus Generation Connect en un abonnement Base Check.

Ceux qui sont intéressés par l’offre, je leur conseille un petit passage par le site de base. Ce qui est intéressant, c’est que commander via le site offre non seulement une réduction de 3 € par mois, mais un service complet à domicile.

Le déroulement de mon passage chez Base

J’ai commandé via le site le 16 septembre 2013, réception d’un certain nombre d’informations et de mail de confirmation.

Le 19 septembre 2013 au soir, je reçois un mail du service logistique de base me demandant de choisir une plage horaire le lendemain pour me livrer la carte simplette signé le contrat.

Le 20 septembre 2013, je reçois un SMS me signalant le passage du livreur 30 minutes plus tard. Un premier uniquement en néerlandais (sic), mais les suivants en français ou bilingue.

30 minutes plus tard, contrat signé et scanné avec ma carte d’identité, ma nouvelle carte sim en poche. Je suis prêt pour le portage que j’ai prévu le 23 septembre.

Le 23 septembre 2013, vers 9 h 30, ma carte Proximus n’est plus active. Je change ma micro-sim dans mon smartphone et me voilà actif chez Base.

Ce 24 septembre 2013 au matin, je reçois un petit mail de bienvenu avec quelques conseils tels que le 1913 pour consulter le solde des avantages restants.

Base Sim Card

Conclusion

J’avoue être agréablement surpris, je vais payer moins cher en passant par internet, « Base » est venu à moi pour la gestion administrative et surtout je n’ai eu aucun problème lors de cette activation. Reste à voir la facture, mais c’est une autre histoire.

4G chez Base au nord de Bruxelles, mais pas encore utilisable

4G BaseLe signal de Base commence à être visible en 4G au nord de Bruxelles à la limite de Vilvoorde. Voici la constatation que j’ai eu l’occasion de faire aujourd’hui.

Le réseau n’étant pas encore officiellement lancé, les antennes émettent le signal, mais les clients ne peuvent probablement pas s’y connecter. (Je n’ai pas de carte sim Base pour le vérifier.)

A l’approche du premier anniversaire du lancement commercial de la 4G chez Proximus. Ou on se demande où en est Mobistar. Base semble tenir sa promesse de rapidement déployer la 4G.
Reste à attendre le lancement commercial.

Après l’enquête de test-achat, un second signe que Base est le second opérateur du pays.

Incendie dans un château d’eau avec des antennes GSM

Un incendie a eu lieu la nuit de dimanche 18 à lundi 19 août 2013, il s’agit d’un château situé Streekbaan à Vilvoorde.
L’endroit est un point important pour certains réseaux de téléphonie mobile. Le résultat a été de grosses perturbations pour les opérateurs pendant une partie de la journée.

Voici quelques photos faites ce lundi 19 août en fin d’après-midi. Il est encore moins beau qu’avant.

 

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Plus d’informations :

Quel avancement dans le dossier de la 4G à Bruxelles ?

LTEAprès les différentes sorties des opérateurs, du régulateur, du ministère de l’Environnement, des hommes politiques et de différents comités de quartiers. Où en sommes-nous avec la 4G à Bruxelles ?

La dernière proposition venant du ministère de l’environnement tenu par Evelyne Huytebroeck, est une déformation de la réalité sensée permettre de garder la règle actuelle tout en l’adaptant afin de permettre le développement de la 4G dans la région Bruxelloises.

La proposition rendue publique semble être de séparer en 2 les ondes dédiées à la téléphonie mobile. Nous aurions d’un côté celle pour la 2G et la 3G et de l’autre celles dédiées à la 4G. Chaque groupe aurait donc droit à 3V/m, et chaque opérateur aurait 1/4 de cette norme par groupe.

La raison serait que dans le futur, le réseau 4G prenne la place du réseau 2G et 3G. Une version optimale. Mais au vu du nombre de téléphones encore uniquement 2G, combien de temps faudra-t-il pour avoir tous les téléphones compatibles 3G et puis surtout 4G ?

Le respect de la norme

Le premier problème reste toujours d’actualités, rien qu’avec la 2 et 3G, les opérateurs annoncent que certaines zones seront problématiques lorsque l’obligation d’appliquer la norme des 3V/m sera réellement effective d’ici la mi-2013.

Les coûts de la couverture

Ce premier problème implique un certain nombre de problèmes supplémentaires. Les usagers de téléphonie mobile demandent une couverture optimale, un bon signal pour une bonne qualité d’appel ou une connexion de donnée rapide vers internet par exemple.
Pour arriver à ce résultat, et dans le respect des normes actuelles, seule l’augmentation du nombre de sites où se situent des antennes est possible.

Mais pour y arriver, les opérateurs doivent trouver de nouveaux endroits où les riverains acceptent d’avoir des antennes, cela implique un propriétaire qui met à dispositions un endroit, qu’un permis d’urbanisme soit délivré ainsi qu’un permis d’environnement.

Le second volet de ce problème est dans le coût. Les frais directs liés aux équipements, à l’installation et au fonctionnement (l’énergie, la location, la maintenance… ) Il faut rajouter le paiement de taxe pour l’exploitation de site de téléphonie mobile.

Qui dit frais pour l’opérateur, dit augmentation du prix au final pour le client.

Le côté juridique

Le troisième problème est une certaine instabilité possible. En effet, il a été dit que l’ordonnance ne sera pas modifiée. Donc au final, les opérateurs vont dépasser les 3V/m, et les différents comités de quartier ont déjà annoncé qu’ils veilleront au respect des normes en vigueur. Ils s’engouffreront dans le moindre « vide » juridique pour s’attaquer aux opérateurs et à la norme.

Un des points qui n’a pas été très bien détaillé, alors que c’est sur quoi va se baser les instances pour différences la 2G/3G de la 4G ?
Est-ce que ce sera sur la fréquence utilisée ? Sachant par exemple que Proximus déploie actuellement la 4G sur la fréquence 1800Mhz, vendue à l’origine comme fréquences 2G.
Où est-ce que ce sera sur la technologie utilisée ? Sachant qu’un opérateur exploitant une fréquence plus petite, sera plus avantager qu’un opérateur exploitant sur une fréquence plus élevée.

Conclusion

Attendons déjà la version définitive du projet avant de voir les réactions que cela pourrait provoquer. Elle est prévue pour début mars, gageons qu’une vraie solution sera apportée et qu’elle satisfera au mieux toute les parties.

La 4G à Bruxelles: environnement et argent, un sujet à problème

Qu’est-ce que la 4G ?

Il s’agit du sujet chaud du moment, le lancement de la 4e génération de téléphonie mobile. Ce nouveau réseau est basé sur la norme LTE. Elle nécessite l’implémentation de nouvelles couches radio. C’est-à-dire que de nouvelles ondes vont voir le jour dans l’air afin que les utilisateurs puissent se connecter à ce type de réseau.

Qu’entendons-nous par un réseau de téléphonie mobile actuellement ?

Pour qu’un réseau de téléphonie mobile fonctionne, les opérateurs déploient un certain nombre d’antennes. Les opérateurs déploient les antennes sur des sites. On retrouve plusieurs types d’antennes. D’après la zone à couvrir et surtout des fréquences déployées sur le site. Auparavant, chaque norme avait sa propre fréquence. Le 900Mhz pour le GSM, le 1800Mhz pour le DCS, deux fréquences utilisées pour la « 2G ». 2100Mhz pour l’UMTS pour la 3G et les évolutions.

Avec le temps, les technologies ont évolué. L’UMTS peut maintenant se déployer sur la bande de fréquences 900Mhz. Le but étant d’avoir une meilleure couverture a l’aide des caractéristiques de cette fréquence dans l’air.

La fameuse 4G a été vendue pour être utilisée sur les fréquences aux alentours des 2600Mhz. Tout comme la 3G, la 4G peut se déployer sur d’autres fréquences. En Belgique par exemple, Proximus semble avoir fait le choix de déployer la LTE sur le 1800Mhz pour commencer.

Les opérateurs mettent-ils la pression ?

C’est indéniable, les propos tenus par les 3 responsables des opérateurs de téléphonie mobile. Ou par le déploiement de la 4G dans d’autres grandes villes Belges.

Proximus a déjà déployé quelques antennes dans 8 villes : Anvers, Gand, Hasselt, Liège, Louvain, Mons, Namur, Wavre et même un peu de 4G à la limite de Bruxelles, à Grand-Bigard.

Mobistar a pour sa part fait des tests à Anvers et à décider de déployer rapidement la 4G dans toutes les zones ou cela est possible.

Base à annoncer le développement rapide de la 4G avec une mise en avant des zones sans aucune couverture surtout en Wallonie.

Chaque opérateur fait passer le message qu’il y aura rapidement de la 4G partout et dans toutes les zones économiques importantes même en périphérie, sauf à Bruxelles.

Où se situe le réel problème du déploiement de la 4G ?

À Bruxelles, la norme se veut cumulative. Les fameux 3V/m sont ce qui est vraiment détecté par rapport aux antennes d’un site. Alors qu’en Wallonie par exemple, c’est une mesure par antenne. Chaque site ayant plusieurs antennes, plusieurs fréquences et plusieurs technologies. À certains endroits, la norme semble déjà être problématique, voire même dépassée. L’ajout de la 4G semble de l’ordre de l’impossible.

Une aberration dans la norme ?

Le problème dans la norme est qu’elle ne compte pas certaines sources d’émissions. Par exemple les ondes WiFi ou celles de téléphonie mobile. Dans la version originale de la norme, les ondes pour la radio ou la télévision n’étaient d’ailleurs pas comprises dedans.

Une solution ?

La solution dépend de la priorité et des « risques » que l’on souhaite prendre.

  1. Si l’on souhaite continuer à respecter la règle des 3V/m, la seule solution consiste à déployer un beaucoup plus grand nombre de sites d’antenne. C’est à dire avoir bien plus de bâtiments avec sur leurs toits des antennes. La différence viendrait du faite qu’elle serait bien moins puissante. 
    Le problème de cette solution, et la raison blocage des opérateurs, c’est que ceux-ci n’arrivent plus à avoir de permis d’urbanisme pour l’implantation de nouveau site.
    Qui dit plus de sites, dit augmentations des frais pour les opérateurs. Et donc une probable répercussion sur le prix aux clients.
  2. La seconde solution est de relever la norme des 3V/m ou du moins de ne plus cumuler. Cette solution viendrait à l’encontre du principe de précautions mis en avant pour fixer cette norme. Les riverains et usagers se verraient donc noyer dans des ondes électromagnétiques plus puissantes. De quoi prendre un risque sanitaire plus important, surtout si le risque devenait un vrai problème de santé publique.

Autant dire qu’aucune des 2 solutions ne semble réaliste à court terme. Cela irait à l’encontre de règle déjà établie.

Quelques informations supplémentaires :

De Base à l’opérateur virtuel Mobile Vikings

En cette fin 2010, j’ai décidé de passé ma carte sim principale qui était chez Base à l’opérateur mobile virtuelle Mobile Vikings.

Offre

Chez Base pour 15€, j’avais droit :

  • Aux sms illimités vers tous les opérateurs.
  • A 15€ de crédits d’appels. J’utilisais 10€ pour un forfait data de 500Mo pour un mois.
  • La minute de communication à 0,29€

Chez Mobile Vikings pour 15€, j’ai droit :

  • A 1000 sms vers tous les opérateurs.
  • A 1000 sms vers des autres clients Mobile Vikings.
  • A 2Go de data pour un mois.
  • A 15€ de crédits d’appels.
  • La minute de communication à 0,24€

Beaucoup moins de sms, mais j’en écrit bien moins qu’avant aussi. Mais bien plus de data. De quoi l’utiliser avec mon iPad en itinérance.

Procédure

Au niveau de la procédure, elle reste assez simple … surtout si on se donne la peine de tout lire.

  • On s’inscrit sur le site de Mobile Vikings, ou comme dans mon cas, on se connecte à notre compte déjà existant.
  • On commande une nouvelle carte sim, avec portage de numéro c’est gratuit. Dans le cas d’une nouvelle, ils faut payer un montant qui est d’après la formule en partie ou intégralement convertit en crédit d’appel.
  • En cas de portage, et si on viens d’une carte prépayé. On vide le crédit d’appel de sa carte.
  • Une fois la carte sim Mobile Vikings reçue, et la le crédits d’appel épuisé (si on ne veux pas en faire don à Base). On envoi un sms demandant le portage du numéro.
  • Cette procédure de portage semble être au moins en partie manuelle. Il vaut mieux donc le faire dans la journée si on veux un portage rapide.
  • On recharge sa carte Mobile Vikings avec 15€ pour avoir droits aux 2 fois 1000 sms et aux 2 Go. Particularité ici, tant que la carte n’est pas active, le crédits reste en attente dans les opérations en cours.
  • Une fois la procédure terminé, on change la carte sim et on profites des avantages.

Conclusions

Avantages :

  • 2 fois 1000 sms
  • 2 Go de data
  • 15€ de crédits
  • Un site web et mobile permettant de gérer pas mal de chose
  • Des alertes sms et par email pour le crédits, le nombre de sms ou le quota.

Inconvénients :

  • Le réseau physique de Base qui reste assez lent en 3G comparé aux 2 autres.
  • Un site internet ou il faut faire plusieurs pages pour trouver une informations précises.
  • Les appels facturés à la minute.

Devenez client Mobile Viking

6 connexions internet

Il y a des moments comme ça, ou vous faites le points sur ce que vous utilisez. Pour finir par remarquez que vous utilisez quotidiennement pas moins de 6 connections internet …

Petit retour en arrière, mon histoire avec internet commence aux environs de l’année 1996. Grâce à la connexion ISDN de mon oncle. S’en suivra ensuite la connexion à des cours de HTML. Une bonne grosse année plus tard, c’est avec un modem 33,6k que l’histoire commence depuis mon ordinateur à la maison. Avec un passage au haut débit en 2000 via une connexion câble chez Brutele à l’époque.
L’histoire se répétera dans un scénario fort proche pour l’internet mobile. Cela débute avec un Nokia 3330 et une connexion CSD pour dur wap. Un passage avec un Sony-Ericsson T300 pour le GPRS en 2003 et enfin l’iMode pour la fin de la même année.

Les choses ont bien évolué. Des minis quota et vitesse presque anecdotique, nous sommes passé à du haut débits aussi bien en fixe que mobile. Des quota nous permettant de faire du vraie multimédia et le tout sans limite de temps dans la majorité des cas. (suite…)

Base Data en panne …

Nous sommes fin 2009, et à l’image de plusieurs fois pendant l’année, le data chez Base est en panne.

Suites à plus d’une panne dans le data center de Scarlet, le réseau de Base est tombé en panne. Nous revoici avec un problème équivalent. Sans connaitre les détails, la presse parle d’une panne de courant, tous les services ont été impacté cette fois-ci. En effet, en fin de matinée, plus moyen de passer ou recevoir d’appels, d’envoyer ou recevoir des SMS. Ces problèmes sont normalement réglé. Par contre, ce dont on ne parle nul part, c’est la panne du réseau data depuis.

Les services impacté sont nombreux, plus d’internet voir de connexion intranet pour les professionnel, et surtout, plus de MMS vu que cela passe par le data normalement. Reste à maintenant à voir combien de temps faudra-t-il attendre, 24 à 48h comme les pannes précédentes ? peut-être bien …

Nous voilà donc peut-être avec un réveillon sans connexion data. Un réveillon au calme diront certains, mais une mauvaise publicité pour commencer 2010 sans 3G pour Base …

Bon réveillon à tous, et surtout, bonne année 2010 !

Edit : Miracle, le data semble avoir été remis en état de fonctionnement en début de soirée pour finir, soit 7 voir 8h de coupure probablement.