Étiquette : Proximus

Des news, des informations voir des tutoriaux sur l’opérateur Proximus.

  • B-box 3, un échange chez Belgacom

    B-box 3, un échange chez Belgacom

    BelgacomDepuis début 2014, j’avais remarqué des problèmes avec ma b-box3 ayant à peine 6 mois. Le problème concernant la non-réponse à mes requêtes DNS certains jours, mais toujours le soir après 22 h en général, j’ai bien sûr commencé à chercher si le problème ne venait pas de quelque chose chez moi : mauvais câblage, client réseau défectueux, voir un virus. Mais après plus d’un mois, je n’ai pas réussi à isoler quelque chose.

    Belgacom EvaJ’ai donc fini par prendre contact avec Belgacom via le compte Belgacom_Eva_FR sur Twitter fin février 2014. Après une explication et quelques échanges, on me propose un échange de b-box 3. Je reçois un code d’échange afin de me rendre dans un Belgacom Center afin de réaliser l’échange. On me précise de demander si possible une Sagemcom. Je fournis l’ancienne b-box 3, le numéro d’échange et me voilà en possession d’un kit d’échange contenant une nouvelle b-box 3 avec câble d’alimentation et câble RJ11.

    Il faut en effet savoir que Belgacom a l’habitude d’avoir plusieurs fournisseurs pour un même produit. Si extérieurement tous ont le même style, il existe deux constructeurs de b-box 3 : Technicolor pour la première que j’ai eu et Sagemcom pour celle après l’échange.

    b-box3 backAu début de l’échange, j’ai eu la désagréable surprise de surprendre la b-box3 redémarrer deux fois à deux jours d’intervalles. On m’avait dès lors proposé le passage d’un technicien pour venir vérifier sur place. Mais après les deux redémarrages, elle a fini par se stabiliser. J’ai fini par annuler le rendez-vous avec le technicien.

    Par contre, depuis l’introduction du « Dynamic Line Management », tout changement de matériel ou toute coupure trop fréquente de la ligne fait un retour à un profil par défaut qui, si la ligne le permet, est de 30mbps. Ce qui dans mon cas est problématique sachant que j’ai également trois décodeurs TV. Et passer de 50mbps à 30mbps apporte malheureusement de grandes restrictions au niveau de la flexibilité du service TV.

    Me voici donc depuis un mois avec 30mbps. En comparaison, lorsque j’avais installé la b-box 3 en juillet 2013, il m’avait fallu attendre pratiquement deux mois afin d’avoir à nouveau 50mbps que j’avais depuis décembre 2012 sur ma b-box 2.

    Reste à attendre maintenant, mais les problèmes constatés de stabilités de la b-box 3 semblent eux avoir disparu, en tout cas après 1 mois.

  • Ou va la 4G en Belgique ?

    Ou va la 4G en Belgique ?

    Après deux mois d’études des différents documents lié aux permis d’environnements disponibles sur les sites internet de l’IBPT (Wallonie et Flandre) et de l’IBGE (Bruxelles),je vous présente à travers cet article les différentes constatations que j’ai eus l’occasion de faire sur la direction que prend la 4G en Belgique.

    Toutes ces constatations tiennent compte des permis déjà accordés, ceux encore en cours ou ceux éventuellement refusés. Il ne s’agit pas des sites actifs sur le terrain.

    Le nombre de dossiers

    Première constatation, Proximus en est aux environs de 1150 sites, Base 775 et Mobistar à 650.

    Dans 99 % des cas pour Proximus et Base, les demandes concernent l’utilisation de la bande de fréquences des 1800 MHz pour le LTE.
    Au contraire, Mobistar a un grand nombre de demandes dans les différentes bandes de fréquences que sont le 800mhz, le 1800mhz ou le 2600 MHz. Mobistar a aussi la particularité d’avoir un nombre élevé de sites ou une demande existe pour plusieurs fréquences.

    Proximus

    Le réseau mobile de Belgacom se focalise sur la très bonne couverture des zones choisies, on notera les grandes villes du pays ainsi que la côte belge. Le principe semble être un élargissement toujours plus grand des zones autour des villes de départ.

    Proximus-20140305-4G

    Base

    Le plus jeune des opérateurs en Belgique semble pour sa part avoir une stratégie légèrement différente. La couverture des grandes villes principalement leurs zones centrales tout en étendant la couverture en couvrant les autoroutes qui relient les grandes villes entre elles.

    Base-20140305-4G

    Mobistar

    L’opérateur qui n’a pas encore ouvert commercialement son réseau semble se concentrer sur les grandes villes, mais aussi sur certaines plus petites. L’obligation de couvrir de petite ville qu’ils ont suite à l’obtention du troisième lot 800 MHz ne doit pas y être étrangère.

    Mobistar-20140305-4G

  • Les détails de la 4G à Bruxelles

    Les détails de la 4G à Bruxelles

    Region FR RGBProximus a réussi à déployer la technologie LTE pour 20 % de la population, tout ceci en restant dans le cadre réglementaire des 3 V/m.

    Mais comment l’opérateur a-t-il réussi à couvrir une petite partie de la région, alors que les trois opérateurs dénoncent depuis des dizaines de mois l’impossibilité de le faire ?

    L’ajout de fréquence

    Les opérateurs avaient pour cela diverses possibilités : la première est de rajouter de nouvelles fréquences où il reste de la place en fonction de la norme, ce qui réduit grandement les possibilités au vu de l’utilisation des réseaux à l’heure actuelle. Mais aussi l’obligation d’introduire de nouvelles demandes de permis d’environnement et dans certains cas d’urbanisme.

    La réutilisation de fréquence

    La seconde possibilité est de réutiliser une partie des fréquences de la 3G et donc de l’utilisation de la norme pour les convertir en 4G.

    Cette seconde façon de faire à l’avantage de ne pas nécessiter de nouveau permis d’environnement ou d’urbanisme. Seule une autorisation de modification est nécessaire. Ce qui réduit les problèmes et le temps nécessaire.

    C’est ce second choix que Proximus semble avoir privilégié. L’augmentation du parc de téléphone mobile compatible 3G permet de réduire la demande et l’utilisation d’une partie du réseau 2G.

    Les détails de la réutilisation

    Pour rentrer un peu dans les détails, une grande partie de la capitale était couverte en 2 G grâce à des fréquences dans les 900mhz et dans les 1800mhz. Et la 3G était déployée elle dans les 2100mhz.

    Le 1800mhz étant utilisé pour soulager le 900mhz, si la demande diminue, il arrive à un moment ou le 1800mhz n’est plus utile. Cela permet à l’opérateur de réutiliser dans certaines zones ces fréquences. De quoi les basculer de la 2G à la 4G.

    Il n’est donc pas question d’outrepassement de la norme ou de manigance. De là à dire que les autres opérateurs pourraient, en faire autant est peut-être vite dit. Il faut que la densité des antennes et leurs utilisations le permettent, ce qui malgré un nombre de clients plus faible ne veut pas forcément dire moins utiliser.

    Belgacom 4G Bruxelles

    Liste des sites 4G à Bruxelles

    Voici une petite liste non exhaustive des sites où une autorisation de modification de la 2G à la 4G a été accordée pour Belgacom (Lien vers les dossiers sur le site de Bruxelles environnement)

  • Où en est-on avec la 4G en Belgique ?

    Où en est-on avec la 4G en Belgique ?

    L’article date de février 2014. Je vous propose de faire un tour sur l’article « Carte de simulation de couverture 4G chez les trois opérateurs » pour le détail des cartes en juillet 2014.

    Le mois de janvier a été riche en annonces autour de la 4G en Belgique. Voici un résumé des différentes annonces réalisées autour des offres commerciales, des avancées légales et de l’amélioration de la couverture. (suite…)

  • L’Ordonnance 4G est approuvée à Bruxelles

    L’Ordonnance 4G est approuvée à Bruxelles

    Region FR RGBEn cette fin de mois de janvier, le parlement de la Région de Bruxelles-Capitale à approuver la nouvelle Ordonnance modifiant le cadre légal permettant le déploiement de la 4G dans la région. Il reste une petite étape avant qu’elle soit enfin effective, la publication au moniteur.

    L’ordonnance en détails

    Ordonnance A-466

    Les normes d’émissions

    La première partie de l’ordonnance concerne l’assouplissement de la norme d’émissions afin de permettre le déploiement de la 4G. Elle passera de 0,024 W/m² (3 V/m pour le 900 MHz) à 0,096 W/m² (6 V/m pour le 900 MHz).

    Cet assouplissement va permettre aux opérateurs d’enfin offrir dans la capitale de l’Europe la dernière technologie en date. Qui pour rappel était la seule zone où cela n’était pas possible d’après les opérateurs. Mais cet assouplissement pourrait permettre aux opérateurs de légèrement aussi améliorer la couverture en 2G et 3G à certains endroits.

    D’ailleurs Proximus le confirme ce lundi sur sa page facebook.

    Proximus-Ameliorations-3G

    Le permis d’environnement

    Cette nouvelle ordonnance à d’autres aspects plus méconnus que le simple assouplissement des normes d’émissions. La région a décidé de changer une partie de la procédure administrative liée à l’obtention du permis d’environnement. Une nouvelle classe de permis va être créée (Classe ID). Elle sera fort proche de l’ancienne classe (Classe 2), mais aura comme point de différence une délivrance dans les 30 jours et plus dans les 60.

    Le site de la région représentant le cadastre des antennes va être légèrement modifié afin d’être plus complet et de permettre aux citoyens d’introduire des remarques et des réclamations. Ce site reprendra également le rapport des experts ayant évalué la bonne application de l’ordonnance.

    Comité d’experts

    Comme cela avait été communiqué au départ, cette ordonnance va mettre sur pied une mission d’expert chargé d’évaluer la bonne mise en œuvre de la réglementation. Un rapport annuel sera remis annuellement au gouvernement bruxellois. Celui-ci sera aussi publié sur le site de Bruxelles Environnement.

    Ce comité d’experts pourrait donc vraisemblablement remettre des recommandations afin d’adapter la réglementation et ainsi éviter le problème que vient de connaître pendant plusieurs années la région.

    Cadastre des toits

    Le quatrième point de l’ordonnance va imposer à la région de réaliser un cadastre des toits des bâtiments publics. Ce cadastre reprendrait les sites susceptibles d’accueillir des antennes pour les opérateurs et ainsi rendre plus facile le déploiement de la région. De quoi permettre également à la région d’avoir des rentrées d’argent supplémentaires.

    Plus d’informations

  • le TV Replay de Belgacom sur Android et iOS

    le TV Replay de Belgacom sur Android et iOS

    Ce soir en lançant l’application TV Partout de Belgacom sur mes smartphones, j’ai eu la surprise de voir de nouveaux boutons apparaître. (suite…)

  • 2014, l’année de la 4G à Bruxelles mais un gros chantier en vue

    2014, l’année de la 4G à Bruxelles mais un gros chantier en vue

    Bruxelles pourrait être comparé au village gaulois résistant à l’envahisseur romain, car la capitale de l’Europe est la seule région à ne pas encore pouvoir déployer la 4G, d’après les opérateurs.

    Heureusement, et sans revenir sur la polémique sanitaire qui entoure tout le débat, un pas décisif a été fait mi-décembre 2013 afin de permettre le déploiement. Grâce à une adaptation des règles de l’ordonnance datant de 2007.

    Si ce point va permettre de régler la partie « légale » du problème, une fois la publication au moniteur,  il restera énormément de travail à faire par les opérateurs. Si une partie doit déjà être faite ou en cours, tout ne se fera pas en un jour.

    Base 4G

    Les sites d’antennes

    La première étape à prévoir est bien sûr de trouver un endroit intéressant pour y placer les antennes et les équipements indispensables aux fonctionnements de celles-ci et ensuite de trouver un accord avec le propriétaire. Cela peut-être un tout nouvel endroit, un endroit où l’opérateur est déjà présent, ou un endroit ou un autre opérateur est déjà présent.

    Vient ensuite la partie demandant l’obtention des différents permis. Les opérateurs doivent dans tous les cas obtenir un permis d’environnement. C’est où sera vérifié que les normes électromagnétiques sont bien respectées. Un second permis doit éventuellement être demandé, il concerne le côté urbanistique.

    Après la partie plus administrative vient l’implantation plus pratique via le côté technique. Antennes, systèmes de gestion, ligne de connexions au cœur du réseau sont les différentes parties nécessaires à l’implantation de la 4G.

    Dans un premier temps, les opérateurs privilégient l’implantation de la 4G sur des sites existants. La fréquence actuellement utilisée est le 1800 MHz. Fréquences que les trois opérateurs utilisent déjà pour leurs réseaux 2G, mais pas forcément partout. Il leur faut soit rajouter une connexion au nouvel équipement 4G ou alors installer des antennes supportant le 1800 MHz. Via un remplacement ou une nouvelle à côté des autres.

    De l’antenne, le signal passe ensuite dans les différents équipements faisant le lien entre votre équipement et le cœur du réseau de l’opérateur. Les équipements doivent donc être mis à jour pour supporter la technologie 4G et ensuite la fréquence utilisées pour la 4G. Si un site venait à être déployé en 4G via plusieurs fréquences, une partie des équipements devra être spécifique à chaque fréquence.

    La dernière partie d’un site d’antennes est le lien avec le cœur du réseau, la bande passante utilisée pour la 4G étant bien plus important que la 3 G et surtout que la 2G. Les opérateurs doivent prévoir une connexion permettant d’exploiter pleinement la 4G. Que cela soit via des fibres optiques ou des faisceaux hertzien. Même si dans ce cas, les technologies évoluent, les systèmes ayant été mis en place pour la 3 G pouvant parfois suffire.

    Mobistar 4G

    Cœur du réseau

    Cette partie est déjà en place chez les opérateurs étant donné qu’ils ont chacun déjà lancé leurs réseaux 4G dans les autres régions de Belgique. Toutefois, des adaptations sont à prévoir que cela soit un simple remplissage de base de donnée à d’éventuelles mises à jour du système.

    Il leur faudra prévoir d’éventuelles mises à jour des connexions et des bandes passantes afin de gérer l’afflux de la demande d’un million d’utilisateurs potentiels en plus, mais aussi des serveurs chargés de gérer le transit des informations ou de la sécurité. Sans oublier la partie facturation et commerciale qui doivent déjà être prêtes.

    4G

    En 2014

    Il reste donc du travail pour permettre la 4G à Bruxelles. Entre le côté administratif et le côté technique, cela permettra uniquement d’avoir un semblant de réseau. Les opérateurs ayant annoncé que pour avoir un vrai réseau 4G en suivant les normes, le nombre de sites d’antennes dans la région va devoir augmenter. Ce qui dans ce cas là, imposera un suivi complet de toutes les étapes expliquées ci-dessous (de façon simplifiée).

    On n’oubliera pas le coût de toute cette implémentation qui devra se faire avec la diminution des prix imposés par les différents organes tels que l’IBPT ou l’Europe et l’augmentation des quotas des connexions internet sans augmentation de prix.

    Un délai de deux ans pour avoir un réseau utilisable n’est donc pas illusoire, la patience sera encore de mise cette année.

  • L’histoire de la 4G en Belgique. De 2009 à nos jours

    L’histoire de la 4G en Belgique. De 2009 à nos jours

    C’était en novembre 2012, le lundi 5 pour être précis, que la Belgique rentrait dans la liste des pays ayant un réseau 4G ouvert commercialement. Un peu plus d’un an après, c’est l’occasion de revenir sur l’histoire de la 4G en Belgique. (suite…)

  • Belgacom, premier opérateur 4G en province du Luxembourg

    Belgacom, premier opérateur 4G en province du Luxembourg

    Sans surprise, Belgacom est officiellement le premier opérateur à avoir déployé de la 4G en province du Luxembourg. En effet, la dernière carte de l’opérateur déployé vraisemblablement ce vendredi 15 novembre fait état de la présence de 4G dans la ville de Libramont-Chevigny.

    Libramont-Chevigny

    D’autres villes sont dorénavant couvertes en Wallonie, telles que Binche et Dinant. Et les zones autour de Mons, Charleroi, Namur et Liège sont un peu plus étendues et se rapprochent les une des autres.
    On notera également une amélioration en Flandre, ou les grandes zones 4G commencent à être connectées entre elles. La périphérie nord de Bruxelles est pratiquement connectée à Anvers en 4 G.

    Belgium-4G-20131115

     

    Belgacom annonce dépasser dorénavant les 217 villes couvertes, et approche des 50 % de la population couverte. À peine 1 an après l’ouverture commerciale du réseau, belle prouesse de l’opérateur. Rappelons-le, sans la région Bruxelloises qui doit compter pour plus de 10 % de la population.
    Mais l’assouplissement des règles à Bruxelles qui approche, et l’obtention des fréquences en 800 MHz devraient aider pour une partie des derniers 50%.

  • Base, Belgacom et Mobistar ont leurs fréquences 800 Mhz

    Base, Belgacom et Mobistar ont leurs fréquences 800 Mhz

    Depuis août 2013, le processus d’enchères pour l’attribution des 3 lots de fréquences en 800 Mhz était ouvert. La dernière phase, les enchères proprement débutaient le 12 novembre.

    Le nombre de candidat et de fréquences étant identique, le résultat était déjà pratiquement connu. Seules les obligations liées au troisième lot allaient les départager.

    Et c’est Mobistar qui décroche le 3e lot de fréquences. Belgacom décroche le second et Base le premier.

    Pourquoi le 800Mhz ?

    BelgacomLes fréquences en 800Mhz ont deux intérêts pour les opérateurs.

    Le premier est tout simplement d’augmenter la capacité des réseaux. Plus de fréquences veulent dire plus d’utilisateurs se partageant une plus grande bande passante.

    Le second argument est plus pour l’opérateur, même si ça pourrait se ressentir sur les prix. Ainsi les fréquences en 800Mhz à une meilleure pénétration dans les bâtiments et se rependent mieux dans les zones rurales que le 1800Mhz et surtout le 2600Mhz.

    Quelles sont les différences entre les lots ?

    Love, Work, Play : MobistarOutre les 20 MHz de chaque lot, chaque lot de fréquences permet d’avoir accès au dernier lot de fréquences disponibles dans les 2600Mhz. Le premier lot ayant la priorité sur le second, et le second ayant priorité sur le troisième s’il venait à réclamer chacun ce lot de fréquences.

    Le troisième lot à une autre contrainte, l’opérateur l’ayant remporté devra couvrir 98 % de la population d’ici 3 ans dans 60 communes oubliées des nouvelles technologies.
    Sans contrainte de fréquences, Mobistar pourra couvrir en 4G en 800, 1800 ou 2600 MHz les 60 communes suivantes.

    AMEL HABAY ONHAYE
    AYWAILLE HAMOIS ORP-JAUCHE
    BASTOGNE HAVELANGE PALISEUL
    BERTOGNE HONNELLES RAEREN
    BERTRIX HOREBEKE RAMILLIES
    BIEVRE HOTTON RENDEUX
    BRUNEHAUT HOUFFALIZE ROCHEFORT
    BÜLLINGEN HOUTHULST RUMES
    BURG-REULAND JALHAY SAINTE-ODE
    BÜTGENBACH KELMIS SAINT-HUBERT
    CHIMAY KORTEMARK SANKT VITH
    CINEY LA ROCHE-EN-ARDENNE SOMME-LEUZE
    CLAVIER LIBRAMONT-CHEVIGNY STADEN
    COUVIN LONTZEN TELLIN
    DAVERDISSE MEIX-DEVANT-VIRTON THEUX
    EUPEN METTET TINTIGNY
    FLOBECQ MODAVE TROIS-PONTS
    FLORENVILLE MOMIGNIES VAUX-SUR-SURE
    FROIDCHAPELLE NASSOGNE VRESSE-SUR-SEMOIS
    GOUVY OHEY WELLIN

    Quelles sont les obligations de couverture ?

    BaseLes délais de couverture sont liés à la possession de licence 2G pour les trois gagnants.

    Après 2 ans d’attributions effectives de la licence, la couverture de la population devra être de minimum 30 %. Après 4 ans de 70 % et après 6 ans de 98 %.

    Que donne maintenant la répartition des fréquences de téléphonie mobile ?

      800 MHz 900 MHz 1800 MHz 2 GHz 2,6 GHz Total
    Belgacom 2 x 10 2 x 10 2 x 20 2 x 15 2 x 20 150 Mhz
    Mobistar 2 x 10 2 x 10 2 x 20 2 x 14,8 2 x 20 149,6 Mhz
    Base 2 x 10 2 x 10 2 x 20 2 x 14,8 2 x 15  139,6 Mhz
    Telenet/Tecteo 2 x 4,8 2 x 10 2 x 14,8 59,2 Mhz
    b-lite 45 45 Mhz

    Quels prix ?

    Les 3 enchères ont été remportées chacune pour 120 M€. Un montant qui correspond à 25 000€ par MHz et par mois pendant 20 ans. Chaque opérateur aura le choix de le payer en une fois ou par année suivant des modalités et des frais bien précis.

    Outre ce prix pour la redevance unique, chaque opérateur devra s’acquitter d’une redevance annuelle reprenant plusieurs frais :

    • Une redevance de gestion de l’autorisation 800 MHz d’un montant de 350 000€
    • Une redevance de mise à dispositions de fréquences : 87 500€ par MHz

    Au total, chaque opérateur aura dépensé à la fin des 20 ans : 120 millions de base et 42 millions de redevances supplémentaires.