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  • Base, Belgacom et Mobistar ont leurs fréquences 800 Mhz

    Base, Belgacom et Mobistar ont leurs fréquences 800 Mhz

    Depuis août 2013, le processus d’enchères pour l’attribution des 3 lots de fréquences en 800 Mhz était ouvert. La dernière phase, les enchères proprement débutaient le 12 novembre.

    Le nombre de candidat et de fréquences étant identique, le résultat était déjà pratiquement connu. Seules les obligations liées au troisième lot allaient les départager.

    Et c’est Mobistar qui décroche le 3e lot de fréquences. Belgacom décroche le second et Base le premier.

    Pourquoi le 800Mhz ?

    BelgacomLes fréquences en 800Mhz ont deux intérêts pour les opérateurs.

    Le premier est tout simplement d’augmenter la capacité des réseaux. Plus de fréquences veulent dire plus d’utilisateurs se partageant une plus grande bande passante.

    Le second argument est plus pour l’opérateur, même si ça pourrait se ressentir sur les prix. Ainsi les fréquences en 800Mhz à une meilleure pénétration dans les bâtiments et se rependent mieux dans les zones rurales que le 1800Mhz et surtout le 2600Mhz.

    Quelles sont les différences entre les lots ?

    Love, Work, Play : MobistarOutre les 20 MHz de chaque lot, chaque lot de fréquences permet d’avoir accès au dernier lot de fréquences disponibles dans les 2600Mhz. Le premier lot ayant la priorité sur le second, et le second ayant priorité sur le troisième s’il venait à réclamer chacun ce lot de fréquences.

    Le troisième lot à une autre contrainte, l’opérateur l’ayant remporté devra couvrir 98 % de la population d’ici 3 ans dans 60 communes oubliées des nouvelles technologies.
    Sans contrainte de fréquences, Mobistar pourra couvrir en 4G en 800, 1800 ou 2600 MHz les 60 communes suivantes.

    AMEL HABAY ONHAYE
    AYWAILLE HAMOIS ORP-JAUCHE
    BASTOGNE HAVELANGE PALISEUL
    BERTOGNE HONNELLES RAEREN
    BERTRIX HOREBEKE RAMILLIES
    BIEVRE HOTTON RENDEUX
    BRUNEHAUT HOUFFALIZE ROCHEFORT
    BÜLLINGEN HOUTHULST RUMES
    BURG-REULAND JALHAY SAINTE-ODE
    BÜTGENBACH KELMIS SAINT-HUBERT
    CHIMAY KORTEMARK SANKT VITH
    CINEY LA ROCHE-EN-ARDENNE SOMME-LEUZE
    CLAVIER LIBRAMONT-CHEVIGNY STADEN
    COUVIN LONTZEN TELLIN
    DAVERDISSE MEIX-DEVANT-VIRTON THEUX
    EUPEN METTET TINTIGNY
    FLOBECQ MODAVE TROIS-PONTS
    FLORENVILLE MOMIGNIES VAUX-SUR-SURE
    FROIDCHAPELLE NASSOGNE VRESSE-SUR-SEMOIS
    GOUVY OHEY WELLIN

    Quelles sont les obligations de couverture ?

    BaseLes délais de couverture sont liés à la possession de licence 2G pour les trois gagnants.

    Après 2 ans d’attributions effectives de la licence, la couverture de la population devra être de minimum 30 %. Après 4 ans de 70 % et après 6 ans de 98 %.

    Que donne maintenant la répartition des fréquences de téléphonie mobile ?

      800 MHz 900 MHz 1800 MHz 2 GHz 2,6 GHz Total
    Belgacom 2 x 10 2 x 10 2 x 20 2 x 15 2 x 20 150 Mhz
    Mobistar 2 x 10 2 x 10 2 x 20 2 x 14,8 2 x 20 149,6 Mhz
    Base 2 x 10 2 x 10 2 x 20 2 x 14,8 2 x 15  139,6 Mhz
    Telenet/Tecteo 2 x 4,8 2 x 10 2 x 14,8 59,2 Mhz
    b-lite 45 45 Mhz

    Quels prix ?

    Les 3 enchères ont été remportées chacune pour 120 M€. Un montant qui correspond à 25 000€ par MHz et par mois pendant 20 ans. Chaque opérateur aura le choix de le payer en une fois ou par année suivant des modalités et des frais bien précis.

    Outre ce prix pour la redevance unique, chaque opérateur devra s’acquitter d’une redevance annuelle reprenant plusieurs frais :

    • Une redevance de gestion de l’autorisation 800 MHz d’un montant de 350 000€
    • Une redevance de mise à dispositions de fréquences : 87 500€ par MHz

    Au total, chaque opérateur aura dépensé à la fin des 20 ans : 120 millions de base et 42 millions de redevances supplémentaires.

  • La 3G chez Mobistar s’améliore

    La 3G chez Mobistar s’améliore

    Love, Work, Play : Mobistar

    À l’heure où la 4G arrive à des vitesses diverses chez les trois opérateurs de téléphonie mobile. La technologie du présent reste la 3G.

    Mobistar publiait le 21 octobre, son rapport sur les 9 premiers mois de l’année 2013. On peut y lire un certain nombre d’informations concernant le réseau.
    Outre ce qui a déjà été révélé lors du lancement de la 4G de Base (Où en est-on avec la 4G en Belgique ?), Mobistar continue d’investir dans la 4 G avec un lancement commercial début 2014.  Mais la 3G continue à progresser, et Mobistar a mis à profit ce troisième trimestre 2013 pour terminer deux grands chantiers de son réseau.

    La vitesse de téléchargement

    Le premier changement est l’augmentation globale de la vitesse maximale théorique à 42 Mbps. Cela a été possible à la faveur de trois changements.

    • Le passage du réseau de l’opérateur belge sur des équipements de la société chinoise Huawei.
    • La connexion entre les sites d’antennes et le cœur du réseau se fait par des fibres optiques ou des faisceaux hertziens. De quoi supprimer les lentes et vieillissantes lignes louées
    • Le déploiement de la technologie Dual Carrier (ou H+) sur le réseau de 3e génération.

    La couverture

    Les personnes qui suivent l’actualité des réseaux mobiles en France sauront probablement que l’opérateur Bouygues Telecom a ouvert plus vite son réseau 4G grâce à la réutilisation des fréquences 1800Mhz autorisée depuis le 1er octobre.
    En Belgique, l’IBPT à une réglementation plus souple que l’ARCEP en France. Il ne bloque pas l’utilisation d’une fréquence à une technologie. Toutefois, une vérification d’usage doit toujours être faite afin d’éviter des problèmes d’interférences.

    En 2010, c’est ce qui a été fait pour l’utilisation des fréquences en 900Mhz pour l’UMTS. Et Mobistar a terminé lors de ce troisième trimestre la migration d’au moins une partie du réseau pour utiliser cette fréquence. Mobistar communique ainsi sur l’augmentation de la couverture indoor, passant ainsi de 70 à 84 % de la population grâce à cette mesure.

    Il faut aussi savoir que les réseaux 4G actuellement déployés en Belgique le sont généralement en 1800Mhz, ce qui permet une meilleure couverture. Et la mise aux enchères des blocs de fréquences dans les 800Mhz permettra encore d’améliorer cette couverture, autant en termes de capacités que de couverture.

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  • Ou en est-on avec la 4G en Belgique ?

    Ou en est-on avec la 4G en Belgique ?

    Avec le lancement du réseau 4G de Proximus à l’automne 2012, la Belgique est sur la carte mondiale du LTE. Mais un an après, où en est-on ?

    BelgacomLa 4G en Belgique chez Proximus

    Au lancement, Proximus avait un réseau déployé dans 8 villes belges.
    Onze mois après, le premier opérateur dans l’aventure 4G  dépasse les 100 zones (villes) couvertes.

    Voici où en est le déploiement du réseau 4G de Proximus.
    Proximus

     

    BaseLa 4G en Belgique chez Base

    Le 1er octobre 2013,  Base lance à son tour une offre commerciale de nouveau réseau 4G.
    Au total, ils annoncent 15 villes couvertes. 11 en Flandre et 3 en Wallonie, et Base promet que ce n’est qu’un début.

    Base

    Logo MobistarLa 4G en Belgique chez Mobistar

    Concernant le troisième réseau belge, rien n’est encore lancé commercialement. Ils ont commencé des tests grandeur nature en 2012 dans les environs d’Anvers.
    Ils ont toutefois annoncé ce premier octobre qu’ils vont élargir les zones de test d’ici la fin 2013. Une offre commerciale devrait apparaître d’ici début 2014.

    Où en est-on commercialement avec la 4G en Belgique ?

    BelgiumLes approches choisies par Proximus et par Base sont assez proches. Offrir l’accès au réseau 4G uniquement dans les forfaits les plus élevés. On retrouve une approche équivalent chez les opérateurs français.
    Une différence existe toutefois pour Proximus, ils proposent une option offrant l’accès au réseau 4G pour les forfaits qui ne l’inclut pas.

    Concernant la vitesse de téléchargement, les deux opérateurs présents annoncent une vitesse réelle de 20 Mb/s. Théoriquement et dans certaines conditions en pratique, elle peut monter facilement à plus de 50 Mb/s.
    Dans le sens de l’envoi, la vitesse pour les deux devrait dépasser les 12 Mb/s en pratique.

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  • Incendie dans un château d’eau avec des antennes GSM

    Incendie dans un château d’eau avec des antennes GSM

    Un incendie a eu lieu la nuit de dimanche 18 à lundi 19 août 2013, il s’agit d’un château situé Streekbaan à Vilvoorde.
    L’endroit est un point important pour certains réseaux de téléphonie mobile. Le résultat a été de grosses perturbations pour les opérateurs pendant une partie de la journée.

    Voici quelques photos faites ce lundi 19 août en fin d’après-midi. Il est encore moins beau qu’avant.

     

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  • Quel avancement dans le dossier de la 4G à Bruxelles ?

    Quel avancement dans le dossier de la 4G à Bruxelles ?

    LTEAprès les différentes sorties des opérateurs, du régulateur, du ministère de l’Environnement, des hommes politiques et de différents comités de quartiers. Où en sommes-nous avec la 4G à Bruxelles ?

    La dernière proposition venant du ministère de l’environnement tenu par Evelyne Huytebroeck, est une déformation de la réalité sensée permettre de garder la règle actuelle tout en l’adaptant afin de permettre le développement de la 4G dans la région Bruxelloises.

    La proposition rendue publique semble être de séparer en 2 les ondes dédiées à la téléphonie mobile. Nous aurions d’un côté celle pour la 2G et la 3G et de l’autre celles dédiées à la 4G. Chaque groupe aurait donc droit à 3V/m, et chaque opérateur aurait 1/4 de cette norme par groupe.

    La raison serait que dans le futur, le réseau 4G prenne la place du réseau 2G et 3G. Une version optimale. Mais au vu du nombre de téléphones encore uniquement 2G, combien de temps faudra-t-il pour avoir tous les téléphones compatibles 3G et puis surtout 4G ?

    Le respect de la norme

    Le premier problème reste toujours d’actualités, rien qu’avec la 2 et 3G, les opérateurs annoncent que certaines zones seront problématiques lorsque l’obligation d’appliquer la norme des 3V/m sera réellement effective d’ici la mi-2013.

    Les coûts de la couverture

    Ce premier problème implique un certain nombre de problèmes supplémentaires. Les usagers de téléphonie mobile demandent une couverture optimale, un bon signal pour une bonne qualité d’appel ou une connexion de donnée rapide vers internet par exemple.
    Pour arriver à ce résultat, et dans le respect des normes actuelles, seule l’augmentation du nombre de sites où se situent des antennes est possible.

    Mais pour y arriver, les opérateurs doivent trouver de nouveaux endroits où les riverains acceptent d’avoir des antennes, cela implique un propriétaire qui met à dispositions un endroit, qu’un permis d’urbanisme soit délivré ainsi qu’un permis d’environnement.

    Le second volet de ce problème est dans le coût. Les frais directs liés aux équipements, à l’installation et au fonctionnement (l’énergie, la location, la maintenance… ) Il faut rajouter le paiement de taxe pour l’exploitation de site de téléphonie mobile.

    Qui dit frais pour l’opérateur, dit augmentation du prix au final pour le client.

    Le côté juridique

    Le troisième problème est une certaine instabilité possible. En effet, il a été dit que l’ordonnance ne sera pas modifiée. Donc au final, les opérateurs vont dépasser les 3V/m, et les différents comités de quartier ont déjà annoncé qu’ils veilleront au respect des normes en vigueur. Ils s’engouffreront dans le moindre « vide » juridique pour s’attaquer aux opérateurs et à la norme.

    Un des points qui n’a pas été très bien détaillé, alors que c’est sur quoi va se baser les instances pour différences la 2G/3G de la 4G ?
    Est-ce que ce sera sur la fréquence utilisée ? Sachant par exemple que Proximus déploie actuellement la 4G sur la fréquence 1800Mhz, vendue à l’origine comme fréquences 2G.
    Où est-ce que ce sera sur la technologie utilisée ? Sachant qu’un opérateur exploitant une fréquence plus petite, sera plus avantager qu’un opérateur exploitant sur une fréquence plus élevée.

    Conclusion

    Attendons déjà la version définitive du projet avant de voir les réactions que cela pourrait provoquer. Elle est prévue pour début mars, gageons qu’une vraie solution sera apportée et qu’elle satisfera au mieux toute les parties.

  • La 4G à Bruxelles: environnement et argent, un sujet à problème

    La 4G à Bruxelles: environnement et argent, un sujet à problème

    Qu’est-ce que la 4G ?

    Il s’agit du sujet chaud du moment, le lancement de la 4e génération de téléphonie mobile. Ce nouveau réseau est basé sur la norme LTE. Elle nécessite l’implémentation de nouvelles couches radio. C’est-à-dire que de nouvelles ondes vont voir le jour dans l’air afin que les utilisateurs puissent se connecter à ce type de réseau.

    Qu’entendons-nous par un réseau de téléphonie mobile actuellement ?

    Pour qu’un réseau de téléphonie mobile fonctionne, les opérateurs déploient un certain nombre d’antennes. Les opérateurs déploient les antennes sur des sites. On retrouve plusieurs types d’antennes. D’après la zone à couvrir et surtout des fréquences déployées sur le site. Auparavant, chaque norme avait sa propre fréquence. Le 900Mhz pour le GSM, le 1800Mhz pour le DCS, deux fréquences utilisées pour la « 2G ». 2100Mhz pour l’UMTS pour la 3G et les évolutions.

    Avec le temps, les technologies ont évolué. L’UMTS peut maintenant se déployer sur la bande de fréquences 900Mhz. Le but étant d’avoir une meilleure couverture a l’aide des caractéristiques de cette fréquence dans l’air.

    La fameuse 4G a été vendue pour être utilisée sur les fréquences aux alentours des 2600Mhz. Tout comme la 3G, la 4G peut se déployer sur d’autres fréquences. En Belgique par exemple, Proximus semble avoir fait le choix de déployer la LTE sur le 1800Mhz pour commencer.

    Les opérateurs mettent-ils la pression ?

    C’est indéniable, les propos tenus par les 3 responsables des opérateurs de téléphonie mobile. Ou par le déploiement de la 4G dans d’autres grandes villes Belges.

    Proximus a déjà déployé quelques antennes dans 8 villes : Anvers, Gand, Hasselt, Liège, Louvain, Mons, Namur, Wavre et même un peu de 4G à la limite de Bruxelles, à Grand-Bigard.

    Mobistar a pour sa part fait des tests à Anvers et à décider de déployer rapidement la 4G dans toutes les zones ou cela est possible.

    Base à annoncer le développement rapide de la 4G avec une mise en avant des zones sans aucune couverture surtout en Wallonie.

    Chaque opérateur fait passer le message qu’il y aura rapidement de la 4G partout et dans toutes les zones économiques importantes même en périphérie, sauf à Bruxelles.

    Où se situe le réel problème du déploiement de la 4G ?

    À Bruxelles, la norme se veut cumulative. Les fameux 3V/m sont ce qui est vraiment détecté par rapport aux antennes d’un site. Alors qu’en Wallonie par exemple, c’est une mesure par antenne. Chaque site ayant plusieurs antennes, plusieurs fréquences et plusieurs technologies. À certains endroits, la norme semble déjà être problématique, voire même dépassée. L’ajout de la 4G semble de l’ordre de l’impossible.

    Une aberration dans la norme ?

    Le problème dans la norme est qu’elle ne compte pas certaines sources d’émissions. Par exemple les ondes WiFi ou celles de téléphonie mobile. Dans la version originale de la norme, les ondes pour la radio ou la télévision n’étaient d’ailleurs pas comprises dedans.

    Une solution ?

    La solution dépend de la priorité et des « risques » que l’on souhaite prendre.

    1. Si l’on souhaite continuer à respecter la règle des 3V/m, la seule solution consiste à déployer un beaucoup plus grand nombre de sites d’antenne. C’est à dire avoir bien plus de bâtiments avec sur leurs toits des antennes. La différence viendrait du faite qu’elle serait bien moins puissante. 
      Le problème de cette solution, et la raison blocage des opérateurs, c’est que ceux-ci n’arrivent plus à avoir de permis d’urbanisme pour l’implantation de nouveau site.
      Qui dit plus de sites, dit augmentations des frais pour les opérateurs. Et donc une probable répercussion sur le prix aux clients.
    2. La seconde solution est de relever la norme des 3V/m ou du moins de ne plus cumuler. Cette solution viendrait à l’encontre du principe de précautions mis en avant pour fixer cette norme. Les riverains et usagers se verraient donc noyer dans des ondes électromagnétiques plus puissantes. De quoi prendre un risque sanitaire plus important, surtout si le risque devenait un vrai problème de santé publique.

    Autant dire qu’aucune des 2 solutions ne semble réaliste à court terme. Cela irait à l’encontre de règle déjà établie.

    Quelques informations supplémentaires :

  • 6 connexions internet

    6 connexions internet

    Il y a des moments comme ça, ou vous faites le points sur ce que vous utilisez. Pour finir par remarquez que vous utilisez quotidiennement pas moins de 6 connections internet …

    Petit retour en arrière, mon histoire avec internet commence aux environs de l’année 1996. Grâce à la connexion ISDN de mon oncle. S’en suivra ensuite la connexion à des cours de HTML. Une bonne grosse année plus tard, c’est avec un modem 33,6k que l’histoire commence depuis mon ordinateur à la maison. Avec un passage au haut débit en 2000 via une connexion câble chez Brutele à l’époque.
    L’histoire se répétera dans un scénario fort proche pour l’internet mobile. Cela débute avec un Nokia 3330 et une connexion CSD pour dur wap. Un passage avec un Sony-Ericsson T300 pour le GPRS en 2003 et enfin l’iMode pour la fin de la même année.

    Les choses ont bien évolué. Des minis quota et vitesse presque anecdotique, nous sommes passé à du haut débits aussi bien en fixe que mobile. Des quota nous permettant de faire du vraie multimédia et le tout sans limite de temps dans la majorité des cas. (suite…)

  • Mobistar Everywhere : ça commence bien !

    Mobistar Everywhere : ça commence bien !

    Le 25 juin 2010, je me rendait dans un Mobistar Center afin de souscrire à l’offre Internet Everywhere Relax avec la clé USB Huawei E1552 offerte.

    L’offre est assez simple, abonnements de 12 mois. 15€ par mois et la clé USB est offerte.

    Ce 25 juillet, je vais sur le site internet de Mobistar voir ma facture. Surprise, je dois payer 44,15€. Gny ?
    Après analyse, mes connexion de ce premier mois ont été compté … hors forfait en multimédia/Internet Everywhere pour un total de 19,28€

    Direction un Mobistar Center ce soir pour exposer mon cas. Petit coup de fil à la centrale en exposant aussi mon cas mais en précisant que c’était peut être aussi un problème de libellé …
    Il insiste quand même, et au final, j’avais raison. Mauvaise facturation du premier mois qui compte que 15 jours tout simplement ….

    Résultat, en théorie une note de crédit de 19,28€ le mois prochain. Je dois tout de même payer les 44,15€

    On verra le mois suivant si tout sera réellement en ordre…

  • HTC Hero, retour de réparation – Clap 2ème !

    HTC Hero, retour de réparation – Clap 2ème !

    HTC HeroAprès une semaine en réparation, j’ai « enfin » retrouvé mon HTC Hero.

    La réparation à de nouveau été rapide et propre, et le résultat identique, un changement du module d’affichage. Reste à espérer que je ne devrais pas le rentré une 3ème fois … et ainsi vérifier le dicton jamais 2 sans 3.

    Heureusement, j’ai profité d’un voyage pour le boulot en France, pour le rentré en réparation. Je dois bien avouer qu’une semaine sans Smartphone évolué, c’est dur une fois habitué. Le retour à un Nokia N79 aura été un peu « difficile ».

    Reste à installer les applications et tout reconfiguré maintenant … en attendant la Rom 2.1 pour le Hero.

  • Ecran tactille du HTC Hero

    Ecran tactille du HTC Hero

    HTC HeroDébut 2010, mon HTC Hero me jouait un mauvais tour et fini par refusé toute opérations sur une partie de son écran tactile.  2 mois après son retour de réparation, et l’échange de l’écran, me voici à nouveau avec le même problème !

    A nouveau, il me semblait que l’écran ne réagissait plus aussi bien qu’il ne devait. Et le doute ces confirmé lors du week-end de pâques, quand une partie de l’écran à refusé d’effectué ce que je lui demandait du bout du doigt. Le voici à nouveau en réparation dans le Mobistar Center.

    Pour l’anecdote, lors de la précédentes demande de réparation, un préposé du magasin avait expliqué à une autre comment introduire la demande. Et idem avec 2 nouvelles personnes cette fois-ci.

    En espérant que le dicton « jamais 2 sans 3 » ne se vérifie pas !