Depuis ce vendredi, Apple a enfin libéré la 4G sur les iPhone pour Base et Proximus. Mais il y a plusieurs fréquences pour la 4G et les iPhone ne sont pas tous compatibles avec toutes ces fréquences.
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Des news, des informations voir des tutoriaux sur l’opérateur Orange.
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Mobistar, partenaire du Google Play
Alors que Mobistar est le partenaire privilégié d’Apple en Belgique, l’opérateur est également celui ayant le plus de lien avec Google et son Google Play.
J’ai eu la surprise de découvrir ce détail lorsque j’ai commandé une carte Sim de l’offre Internet On Mobile. Cela se traduit par une section sur le Google Play ou l’achat via sa facture opérateur. (suite…) -
Pourquoi mon smartphone ne capte pas la 4G ?
Raison 1 : la raison la plus simple est tout simplement que votre smartphone n’est pas compatible avec la technologie LTE, la norme utilisée en Belgique pour vous apporter de la 4G. Les premiers smartphones compatibles, excepté de rare exception, ont été commercialisés fin 2012 sur le marché belge. (suite…)
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Mobistar, un retour en force
Ces dernières années, Mobistar était la cible de nombreuses critiques envers la qualité de son réseau de téléphonie mobile, et principalement de son réseau 3G. Pour faire oublier cette mauvaise période, l’opérateur a préféré faire profil bas lors du lancement de la 4G en Belgique, promettant un lancement de son propre réseau avec une qualité qui sera directement élevée en terme de vitesse et de couverture. (suite…)
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la 4G couvre les Belges
… Ou du moins une partie de ceux-ci, mais avec l’unique restriction des zones. Depuis ce lundi 31 mars, Mobistar et ces MVNO ont rejoint les réseaux actifs de Proximus et de Base lancés il y a respectivement 18 et 6 mois. (suite…)
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Ou va la 4G en Belgique ?
Après deux mois d’études des différents documents lié aux permis d’environnements disponibles sur les sites internet de l’IBPT (Wallonie et Flandre) et de l’IBGE (Bruxelles),je vous présente à travers cet article les différentes constatations que j’ai eus l’occasion de faire sur la direction que prend la 4G en Belgique.
Toutes ces constatations tiennent compte des permis déjà accordés, ceux encore en cours ou ceux éventuellement refusés. Il ne s’agit pas des sites actifs sur le terrain.
Le nombre de dossiers
Première constatation, Proximus en est aux environs de 1150 sites, Base 775 et Mobistar à 650.
Dans 99 % des cas pour Proximus et Base, les demandes concernent l’utilisation de la bande de fréquences des 1800 MHz pour le LTE.
Au contraire, Mobistar a un grand nombre de demandes dans les différentes bandes de fréquences que sont le 800mhz, le 1800mhz ou le 2600 MHz. Mobistar a aussi la particularité d’avoir un nombre élevé de sites ou une demande existe pour plusieurs fréquences.Proximus
Le réseau mobile de Belgacom se focalise sur la très bonne couverture des zones choisies, on notera les grandes villes du pays ainsi que la côte belge. Le principe semble être un élargissement toujours plus grand des zones autour des villes de départ.
Base
Le plus jeune des opérateurs en Belgique semble pour sa part avoir une stratégie légèrement différente. La couverture des grandes villes principalement leurs zones centrales tout en étendant la couverture en couvrant les autoroutes qui relient les grandes villes entre elles.
Mobistar
L’opérateur qui n’a pas encore ouvert commercialement son réseau semble se concentrer sur les grandes villes, mais aussi sur certaines plus petites. L’obligation de couvrir de petite ville qu’ils ont suite à l’obtention du troisième lot 800 MHz ne doit pas y être étrangère.
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Où en est-on avec la 4G en Belgique ?
L’article date de février 2014. Je vous propose de faire un tour sur l’article « Carte de simulation de couverture 4G chez les trois opérateurs » pour le détail des cartes en juillet 2014.
Le mois de janvier a été riche en annonces autour de la 4G en Belgique. Voici un résumé des différentes annonces réalisées autour des offres commerciales, des avancées légales et de l’amélioration de la couverture. (suite…)
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L’Ordonnance 4G est approuvée à Bruxelles
En cette fin de mois de janvier, le parlement de la Région de Bruxelles-Capitale à approuver la nouvelle Ordonnance modifiant le cadre légal permettant le déploiement de la 4G dans la région. Il reste une petite étape avant qu’elle soit enfin effective, la publication au moniteur.
L’ordonnance en détails
Les normes d’émissions
La première partie de l’ordonnance concerne l’assouplissement de la norme d’émissions afin de permettre le déploiement de la 4G. Elle passera de 0,024 W/m² (3 V/m pour le 900 MHz) à 0,096 W/m² (6 V/m pour le 900 MHz).
Cet assouplissement va permettre aux opérateurs d’enfin offrir dans la capitale de l’Europe la dernière technologie en date. Qui pour rappel était la seule zone où cela n’était pas possible d’après les opérateurs. Mais cet assouplissement pourrait permettre aux opérateurs de légèrement aussi améliorer la couverture en 2G et 3G à certains endroits.
D’ailleurs Proximus le confirme ce lundi sur sa page facebook.
Le permis d’environnement
Cette nouvelle ordonnance à d’autres aspects plus méconnus que le simple assouplissement des normes d’émissions. La région a décidé de changer une partie de la procédure administrative liée à l’obtention du permis d’environnement. Une nouvelle classe de permis va être créée (Classe ID). Elle sera fort proche de l’ancienne classe (Classe 2), mais aura comme point de différence une délivrance dans les 30 jours et plus dans les 60.
Le site de la région représentant le cadastre des antennes va être légèrement modifié afin d’être plus complet et de permettre aux citoyens d’introduire des remarques et des réclamations. Ce site reprendra également le rapport des experts ayant évalué la bonne application de l’ordonnance.
Comité d’experts
Comme cela avait été communiqué au départ, cette ordonnance va mettre sur pied une mission d’expert chargé d’évaluer la bonne mise en œuvre de la réglementation. Un rapport annuel sera remis annuellement au gouvernement bruxellois. Celui-ci sera aussi publié sur le site de Bruxelles Environnement.
Ce comité d’experts pourrait donc vraisemblablement remettre des recommandations afin d’adapter la réglementation et ainsi éviter le problème que vient de connaître pendant plusieurs années la région.
Cadastre des toits
Le quatrième point de l’ordonnance va imposer à la région de réaliser un cadastre des toits des bâtiments publics. Ce cadastre reprendrait les sites susceptibles d’accueillir des antennes pour les opérateurs et ainsi rendre plus facile le déploiement de la région. De quoi permettre également à la région d’avoir des rentrées d’argent supplémentaires.
Plus d’informations
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2014, l’année de la 4G à Bruxelles mais un gros chantier en vue
Bruxelles pourrait être comparé au village gaulois résistant à l’envahisseur romain, car la capitale de l’Europe est la seule région à ne pas encore pouvoir déployer la 4G, d’après les opérateurs.
Heureusement, et sans revenir sur la polémique sanitaire qui entoure tout le débat, un pas décisif a été fait mi-décembre 2013 afin de permettre le déploiement. Grâce à une adaptation des règles de l’ordonnance datant de 2007.
Si ce point va permettre de régler la partie « légale » du problème, une fois la publication au moniteur, il restera énormément de travail à faire par les opérateurs. Si une partie doit déjà être faite ou en cours, tout ne se fera pas en un jour.
Les sites d’antennes
La première étape à prévoir est bien sûr de trouver un endroit intéressant pour y placer les antennes et les équipements indispensables aux fonctionnements de celles-ci et ensuite de trouver un accord avec le propriétaire. Cela peut-être un tout nouvel endroit, un endroit où l’opérateur est déjà présent, ou un endroit ou un autre opérateur est déjà présent.
Vient ensuite la partie demandant l’obtention des différents permis. Les opérateurs doivent dans tous les cas obtenir un permis d’environnement. C’est où sera vérifié que les normes électromagnétiques sont bien respectées. Un second permis doit éventuellement être demandé, il concerne le côté urbanistique.
Après la partie plus administrative vient l’implantation plus pratique via le côté technique. Antennes, systèmes de gestion, ligne de connexions au cœur du réseau sont les différentes parties nécessaires à l’implantation de la 4G.
Dans un premier temps, les opérateurs privilégient l’implantation de la 4G sur des sites existants. La fréquence actuellement utilisée est le 1800 MHz. Fréquences que les trois opérateurs utilisent déjà pour leurs réseaux 2G, mais pas forcément partout. Il leur faut soit rajouter une connexion au nouvel équipement 4G ou alors installer des antennes supportant le 1800 MHz. Via un remplacement ou une nouvelle à côté des autres.
De l’antenne, le signal passe ensuite dans les différents équipements faisant le lien entre votre équipement et le cœur du réseau de l’opérateur. Les équipements doivent donc être mis à jour pour supporter la technologie 4G et ensuite la fréquence utilisées pour la 4G. Si un site venait à être déployé en 4G via plusieurs fréquences, une partie des équipements devra être spécifique à chaque fréquence.
La dernière partie d’un site d’antennes est le lien avec le cœur du réseau, la bande passante utilisée pour la 4G étant bien plus important que la 3 G et surtout que la 2G. Les opérateurs doivent prévoir une connexion permettant d’exploiter pleinement la 4G. Que cela soit via des fibres optiques ou des faisceaux hertzien. Même si dans ce cas, les technologies évoluent, les systèmes ayant été mis en place pour la 3 G pouvant parfois suffire.
Cœur du réseau
Cette partie est déjà en place chez les opérateurs étant donné qu’ils ont chacun déjà lancé leurs réseaux 4G dans les autres régions de Belgique. Toutefois, des adaptations sont à prévoir que cela soit un simple remplissage de base de donnée à d’éventuelles mises à jour du système.
Il leur faudra prévoir d’éventuelles mises à jour des connexions et des bandes passantes afin de gérer l’afflux de la demande d’un million d’utilisateurs potentiels en plus, mais aussi des serveurs chargés de gérer le transit des informations ou de la sécurité. Sans oublier la partie facturation et commerciale qui doivent déjà être prêtes.
En 2014
Il reste donc du travail pour permettre la 4G à Bruxelles. Entre le côté administratif et le côté technique, cela permettra uniquement d’avoir un semblant de réseau. Les opérateurs ayant annoncé que pour avoir un vrai réseau 4G en suivant les normes, le nombre de sites d’antennes dans la région va devoir augmenter. Ce qui dans ce cas là, imposera un suivi complet de toutes les étapes expliquées ci-dessous (de façon simplifiée).
On n’oubliera pas le coût de toute cette implémentation qui devra se faire avec la diminution des prix imposés par les différents organes tels que l’IBPT ou l’Europe et l’augmentation des quotas des connexions internet sans augmentation de prix.
Un délai de deux ans pour avoir un réseau utilisable n’est donc pas illusoire, la patience sera encore de mise cette année.
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L’histoire de la 4G en Belgique. De 2009 à nos jours
C’était en novembre 2012, le lundi 5 pour être précis, que la Belgique rentrait dans la liste des pays ayant un réseau 4G ouvert commercialement. Un peu plus d’un an après, c’est l’occasion de revenir sur l’histoire de la 4G en Belgique. (suite…)