Année : 2013

  • Android : Plus d’ouverture et de choix. La sécurité plus problématique.

    Android : Plus d’ouverture et de choix. La sécurité plus problématique.

    android_nameLe système d’exploitation Android est une création d’une société portant le même nom, que Google a rachetée en aout 2005. Depuis, le projet est open source et est dirigé par Google. Ce système d’exploitation est à ne pas le nier, de grands points communs avec son concurrent  iOS.

    logo_googleContrairement à Apple, Google développe un système d’exploitation qui est mis à dispositions des constructeurs. Certains comme Samsung et HTC respectent des règles dictées par Google. Ils personnalisent avec leur surcouche constructeur et ont le droit de mettre le magasin d’application de Google (Google Play). C’est ce que fait par exemple Samsung, HTC ou Sony.
    logo amazonD’autres comme Amazon récupère uniquement la partie open source du système comme basent à leurs propres systèmes autonomes. Ils mettent alors leurs propres magasins d’applications. Ce qui leur assure des rentrées financières supérieures avec les commissions qu’ils perçoivent avec celui-ci.

     

    De par le faite que le logiciel soit fait par une entreprise, et le matériel par une autre. L’intégration est un peu moins poussée, tous se basent sur ce que propose Android avec quelques ajouts propre. Mais en contrepartie, les utilisateurs ont un plus grand choix de matériel. La marque et son image, un choix de taille, de fonctionnalités, et d’éventuels services ajoutés.
    Par contre, ce niveau supplémentaire pose quelques problèmes aux impatients, chaque constructeur doit refaire l’intégration de la nouvelle version d’Android pour chaque téléphone, tablette et autres systèmes ayant Android comme OS. Cette nouvelle version est une perte d’argent pour le constructeur. Le constructeur se rattrapera sur l’image de marque qu’ils auront avec le maintien dans la dernière version d’Android au moins une partie du parc existant. De plus, le modèle Android se veut plus proche des opérateurs, et donc les opérateurs ont leurs mots à dire dans le moment ou est déployée cette mise à jour sur les modèles vendus sous leurs « références ». En pratique, un pays pourra recevoir une mise à jour, alors que dans d’autres pays, les acheteurs devront au mieux attendres de longs mois.

    google-play-logoCette centralisation par Google au-dessus des constructeurs permet aux clients d’acheter des applications sur le Play Store, et pouvoir changer de marque de matériel et retrouver ses applications. Mais la contrepartie est la perte dans un certain nombre de cas de la logique du constructeur concernant la surcouche. Un petit temps d’adaptations sera nécessaire entre marques.

    Android ayant une culture un peu plus ouverte qu’iOS ou même Windows Phone, ils permettent l’installation d’application ne venant pas d’un magasin d’application. Un exemple récent est la disparition de l’application Adblock du Play Store. Cela a eu comme résultats que l’équipe en charge de cette application la proposer directement sur son site et les utilisateurs peuvent l’installer manuellement après l’autorisation de l’installation d’application ne venant pas du store. Mais cette ouverture à un prix pour la sécurité. Google à un mécanisme vérifiant le code des applications, il est à la base moins poussé que celui d’Apple. Mais l’ouverture à l’installation d’applications venant de site internet potentiellement moins sûr doit se faire aux risques et périls de l’utilisateur. Cette option n’est clairement pas faite pour les gens ayant des données sensibles sur leurs appareils ou les gens ne sachant pas trop ce qu’ils font.

    Cette grande ouverture du marché d’Android apporte aux développeurs leurs lots de problèmes. Cette énorme variante d’appareil impose aux développeurs de tenir d’un plus grand nombre de configuration matérielle. La taille d’écran, la puissance de la machine, les option disponible telle que le GPS, le Bluetooth … autant de raisons pour laquelle les applications technologiquement avancées sortent régulièrement en premier sur iOS et éventuellement ensuite sur Android. L’argent étant toujours ce qui dirige les choix des entreprises.

    Prochain épisode : Windows Phone

  • Outlook 2013 – Mode compact sans les premières lignes du mail

    Outlook 2013 – Mode compact sans les premières lignes du mail

    Outlook 2013 LogoPetite astuce, si comme moi vous utilisez Microsoft Outlook 2013, lorsque vous affichez la liste des messages en mode compact, Outlook affiche le sujet, la date, l’expéditeur, mais aussi la première ligne de l’email. L’option permettant de supprimer cette première ligne n’est plus au même endroit que les anciennes versions d’Outlook.

    Cette option a été intégrée à la logique ruban de Microsoft Office. Il faut tout simplement se rendre dans l’onglet Affichage, là vous trouvez le bouton Aperçu du message.
    Lorsque vous cliquez dessus, vous pourrez tout simplement choisir de désactiver ou d’afficher entre 1 et 3 lignes.

    Outlook 2013 - Affichage

  • La fin du RSS ? Pas pour moi !

    La fin du RSS ? Pas pour moi !

    Avec la disparition de Google Reader, un grand nombre de personnes écrivent que c’est la fin du RSS qui pousse en partie Google à supprimer le service.

    Certes, demander à n’importe qui ce qu’est le RSS. Peu sauront ce que c’est, et encore moins l’utilisent consciemment ou non.

    Mais une phrase bien connue est « Je ne suis pas tout le monde ». Rien ne me permet pour l’instant de remplacer ma façon de consommer l’information.J’aime lire les titres, et seulement lire les détails si l’envie s’en fait sentir. Ensuite, je ne veux pas de commentaire inutile dans un premier temps. Le RSS est parfait pour ça. Pourtant, on essaye de me faire passer à d’autres moyens.

    Twitter

    Ce réseau social pourrait être un bon remplaçant en théorie, malheureusement en pratique ça ne l’est pas. D’abord parce que tous les sites n’ont pas forcément un compte Twitter. Ensuite parce que tous les sites n’ont pas forcément un compte dédié à l’actualité. Vous avez soit un compte personnel où sont aussi publiées les nouvelles. Ou alors , ils ont un compte qui sert aussi bien à l’actualité du site qu’à la relation avec les visiteurs ou à la retransmission d’information.

    Facebook

    Le plus gros réseau social pourrait être aussi une alternative. Grâce au système de page, beaucoup de sites en ont une. Mais ici aussi, ce n’est pas forcément tous les sites qui publient les actualités sur une page. De plus, les règles de Facebook font que nous n’allons voir que 20% des publications. Sauf si ceux qui publient payent. Autant dire que le système n’est pas optimal pour être sûr de ne rien manquer. Sauf aller explicitement sur la page, mais là autant aller sur le site directement.

    Google+

    L’alternative de Google reste son propre réseau social. Mais ils ont encore un grand problème, rien ne permet encore de publier automatiquement sur le site. Autant dire que peu de sites publient directement leurs informations sur le réseau.

    Mon système

    Avec la disparition de Google Reader, et de ses applications mobiles. J’ai décidé de prendre Feedly. Un système ayant une interface assez « spéciale ». Mais qui me permet de continuer de consommer de la même façon. Sans rien rater des quelques sites que je souhaite suivre. J’utilise en parallèle les réseaux sociaux pour découvrir de nouveau site ou lire sporadiquement sur d’autres sujets.

  • iPhone, iPad & iPod ont en commun iOs, un système d’exploitation facile mais fermé

    iPhone, iPad & iPod ont en commun iOs, un système d’exploitation facile mais fermé

    On parle beaucoup ses derniers temps de la guerre entre systèmes d’exploitation sur plateforme mobile. Nous avons : iOS, qui équipe les produits Apple, Android qui équipe maintenant 70% du marché, Windows Phone de Microsoft, ainsi que d’autres, beaucoup plus récents, voire en projet, tel que BlackBerry, Tizen, Firefox OS et Ubuntu Phone.

    Chaque produit à sa spécificité et une direction particulière même si chaque OS se dit universel. Pour développer mon idée, je vais parler au travers d’une série d’articles d’un point fort et des points faibles dans mon cas de chaque système d’exploitation.

    Le premier est consacré à iOS, le système d’exploitation d’Apple.

    iOS

    Sorti sur le premier iPhone en juin 2007, il équipe depuis aussi les iPad et iPod.
    Ce tout nouveau système d’exploitation a été le signal de départ pour une nouvelle ère de mobilité. Il ne contenait pas forcément de grandes nouveautés, par contre il était le premier à les rassembler en un seul produit et à le faire connaitre au grand public.

    Le point fort d’Apple vient probablement de ce qui en fait un succès, du bon matériel avec un logiciel taillé sur mesure. Apple peut se permettre d’avoir, sur papier, une puissance plus faible, cette intégration inversera grandement la puissance relative que vivra au quotidien l’utilisateur. Mais cela est pourtant aussi un point faible, Apple étant le seul constructeur à vendre du matériel compatible iOS, les clients se voient obliger de suivre la direction qu’impose Apple, au risque de perdre tous ses achats sur l’App Store en passant sur une autre plateforme.
    Cette approche du marché de la part d’Apple leur permet d’avoir une main mise complète sur l’appareil, ils peuvent alors bloquer des fonctionnalités justes parce qu’ils ont envie. Le dernier exemple en date est la 4G, ils ont fait le choix de ne délivrer qu’une partie du spectre de la 4G matériellement, mais aussi de n’ouvrir la 4G que sur certains réseaux pour des raisons pas toujours très claires.
    Il y a toutefois encore un point assez positif de cette gestion, les mises à jour sont déployées de façon globale. Tout le monde en même temps et sur tous les iDevices. Même si les modèles plus anciens n’ont pas forcément toutes les dernières nouveautés. Bien sûr comme toute autre marque, il arrive un moment ou ils ne sont plus mis à jour.

    Dans l’optique de faciliter l’usage, Apple met en avant la sécurité de son environnement. Ils autorisent l’installation d’application venant exclusivement de l’App Store. Toutes les applications sont ainsi vérifiées et celle ayant un problème avec la charte ne sont pas autorisée. Cette charte comprend deux groupes de motifs de refus : ceux où la sécurité des données de l’utilisateur peut-être compromit et ceux où il pourrait poser des problèmes à Apple suivant leur code de bonne conduite. Pas d’application rentrant en concurrence avec un des leurs, ceux n’utilisant pas certaines de leurs technologies telles que l’achat in app ou encore ceux ayant un contenu qui ne leur plaisent tout simplement pas. Mais un des buts est aussi d’être l’unique moyen d’installer des applications, et dans le cas d’une application payante, prélever 30% du prix de vente, argent utilisé entre autres pour payer les gens derrière le processus de validation.

    La force des produits iOS étant sa facilité d’utilisation, la logique utilisée sur tous les produits reste toujours la même, ainsi que dans toutes les applications du système. L’accès aux menus, aux réglages ainsi qu’aux interfaces communes. Mais cette harmonisation à un point faible, les contraintes graphiques et techniques limites en partie l’innovation et la différenciation entre applications.

    Pour continuer à rendre tout facile à n’importe qui, Apple sort de nouvelles technologies propriétaires. On retient par exemple la connectique telle que le câble de connexion lightning, la technologie de diffusion de musique Airplay, ou encore l’impression facile via Airprint. Mais voilà, en faisant ça Apple s’isole du reste du monde informatique. Chaque technologie a souvent une version déjà harmonisée, mais avec une finition moins grande. Ce qui rend leurs utilisations bien plus difficiles. Le second point est qu’en utilisant des technologies ouvertes, Apple ne pourrait pas imposer un cahier des charges important tout en revendant des licences aux produits tiers sélectionnés.

     Prochain épisodes : Android

  • Quel avancement dans le dossier de la 4G à Bruxelles ?

    Quel avancement dans le dossier de la 4G à Bruxelles ?

    LTEAprès les différentes sorties des opérateurs, du régulateur, du ministère de l’Environnement, des hommes politiques et de différents comités de quartiers. Où en sommes-nous avec la 4G à Bruxelles ?

    La dernière proposition venant du ministère de l’environnement tenu par Evelyne Huytebroeck, est une déformation de la réalité sensée permettre de garder la règle actuelle tout en l’adaptant afin de permettre le développement de la 4G dans la région Bruxelloises.

    La proposition rendue publique semble être de séparer en 2 les ondes dédiées à la téléphonie mobile. Nous aurions d’un côté celle pour la 2G et la 3G et de l’autre celles dédiées à la 4G. Chaque groupe aurait donc droit à 3V/m, et chaque opérateur aurait 1/4 de cette norme par groupe.

    La raison serait que dans le futur, le réseau 4G prenne la place du réseau 2G et 3G. Une version optimale. Mais au vu du nombre de téléphones encore uniquement 2G, combien de temps faudra-t-il pour avoir tous les téléphones compatibles 3G et puis surtout 4G ?

    Le respect de la norme

    Le premier problème reste toujours d’actualités, rien qu’avec la 2 et 3G, les opérateurs annoncent que certaines zones seront problématiques lorsque l’obligation d’appliquer la norme des 3V/m sera réellement effective d’ici la mi-2013.

    Les coûts de la couverture

    Ce premier problème implique un certain nombre de problèmes supplémentaires. Les usagers de téléphonie mobile demandent une couverture optimale, un bon signal pour une bonne qualité d’appel ou une connexion de donnée rapide vers internet par exemple.
    Pour arriver à ce résultat, et dans le respect des normes actuelles, seule l’augmentation du nombre de sites où se situent des antennes est possible.

    Mais pour y arriver, les opérateurs doivent trouver de nouveaux endroits où les riverains acceptent d’avoir des antennes, cela implique un propriétaire qui met à dispositions un endroit, qu’un permis d’urbanisme soit délivré ainsi qu’un permis d’environnement.

    Le second volet de ce problème est dans le coût. Les frais directs liés aux équipements, à l’installation et au fonctionnement (l’énergie, la location, la maintenance… ) Il faut rajouter le paiement de taxe pour l’exploitation de site de téléphonie mobile.

    Qui dit frais pour l’opérateur, dit augmentation du prix au final pour le client.

    Le côté juridique

    Le troisième problème est une certaine instabilité possible. En effet, il a été dit que l’ordonnance ne sera pas modifiée. Donc au final, les opérateurs vont dépasser les 3V/m, et les différents comités de quartier ont déjà annoncé qu’ils veilleront au respect des normes en vigueur. Ils s’engouffreront dans le moindre « vide » juridique pour s’attaquer aux opérateurs et à la norme.

    Un des points qui n’a pas été très bien détaillé, alors que c’est sur quoi va se baser les instances pour différences la 2G/3G de la 4G ?
    Est-ce que ce sera sur la fréquence utilisée ? Sachant par exemple que Proximus déploie actuellement la 4G sur la fréquence 1800Mhz, vendue à l’origine comme fréquences 2G.
    Où est-ce que ce sera sur la technologie utilisée ? Sachant qu’un opérateur exploitant une fréquence plus petite, sera plus avantager qu’un opérateur exploitant sur une fréquence plus élevée.

    Conclusion

    Attendons déjà la version définitive du projet avant de voir les réactions que cela pourrait provoquer. Elle est prévue pour début mars, gageons qu’une vraie solution sera apportée et qu’elle satisfera au mieux toute les parties.

  • La 4G à Bruxelles: environnement et argent, un sujet à problème

    La 4G à Bruxelles: environnement et argent, un sujet à problème

    Qu’est-ce que la 4G ?

    Il s’agit du sujet chaud du moment, le lancement de la 4e génération de téléphonie mobile. Ce nouveau réseau est basé sur la norme LTE. Elle nécessite l’implémentation de nouvelles couches radio. C’est-à-dire que de nouvelles ondes vont voir le jour dans l’air afin que les utilisateurs puissent se connecter à ce type de réseau.

    Qu’entendons-nous par un réseau de téléphonie mobile actuellement ?

    Pour qu’un réseau de téléphonie mobile fonctionne, les opérateurs déploient un certain nombre d’antennes. Les opérateurs déploient les antennes sur des sites. On retrouve plusieurs types d’antennes. D’après la zone à couvrir et surtout des fréquences déployées sur le site. Auparavant, chaque norme avait sa propre fréquence. Le 900Mhz pour le GSM, le 1800Mhz pour le DCS, deux fréquences utilisées pour la « 2G ». 2100Mhz pour l’UMTS pour la 3G et les évolutions.

    Avec le temps, les technologies ont évolué. L’UMTS peut maintenant se déployer sur la bande de fréquences 900Mhz. Le but étant d’avoir une meilleure couverture a l’aide des caractéristiques de cette fréquence dans l’air.

    La fameuse 4G a été vendue pour être utilisée sur les fréquences aux alentours des 2600Mhz. Tout comme la 3G, la 4G peut se déployer sur d’autres fréquences. En Belgique par exemple, Proximus semble avoir fait le choix de déployer la LTE sur le 1800Mhz pour commencer.

    Les opérateurs mettent-ils la pression ?

    C’est indéniable, les propos tenus par les 3 responsables des opérateurs de téléphonie mobile. Ou par le déploiement de la 4G dans d’autres grandes villes Belges.

    Proximus a déjà déployé quelques antennes dans 8 villes : Anvers, Gand, Hasselt, Liège, Louvain, Mons, Namur, Wavre et même un peu de 4G à la limite de Bruxelles, à Grand-Bigard.

    Mobistar a pour sa part fait des tests à Anvers et à décider de déployer rapidement la 4G dans toutes les zones ou cela est possible.

    Base à annoncer le développement rapide de la 4G avec une mise en avant des zones sans aucune couverture surtout en Wallonie.

    Chaque opérateur fait passer le message qu’il y aura rapidement de la 4G partout et dans toutes les zones économiques importantes même en périphérie, sauf à Bruxelles.

    Où se situe le réel problème du déploiement de la 4G ?

    À Bruxelles, la norme se veut cumulative. Les fameux 3V/m sont ce qui est vraiment détecté par rapport aux antennes d’un site. Alors qu’en Wallonie par exemple, c’est une mesure par antenne. Chaque site ayant plusieurs antennes, plusieurs fréquences et plusieurs technologies. À certains endroits, la norme semble déjà être problématique, voire même dépassée. L’ajout de la 4G semble de l’ordre de l’impossible.

    Une aberration dans la norme ?

    Le problème dans la norme est qu’elle ne compte pas certaines sources d’émissions. Par exemple les ondes WiFi ou celles de téléphonie mobile. Dans la version originale de la norme, les ondes pour la radio ou la télévision n’étaient d’ailleurs pas comprises dedans.

    Une solution ?

    La solution dépend de la priorité et des « risques » que l’on souhaite prendre.

    1. Si l’on souhaite continuer à respecter la règle des 3V/m, la seule solution consiste à déployer un beaucoup plus grand nombre de sites d’antenne. C’est à dire avoir bien plus de bâtiments avec sur leurs toits des antennes. La différence viendrait du faite qu’elle serait bien moins puissante. 
      Le problème de cette solution, et la raison blocage des opérateurs, c’est que ceux-ci n’arrivent plus à avoir de permis d’urbanisme pour l’implantation de nouveau site.
      Qui dit plus de sites, dit augmentations des frais pour les opérateurs. Et donc une probable répercussion sur le prix aux clients.
    2. La seconde solution est de relever la norme des 3V/m ou du moins de ne plus cumuler. Cette solution viendrait à l’encontre du principe de précautions mis en avant pour fixer cette norme. Les riverains et usagers se verraient donc noyer dans des ondes électromagnétiques plus puissantes. De quoi prendre un risque sanitaire plus important, surtout si le risque devenait un vrai problème de santé publique.

    Autant dire qu’aucune des 2 solutions ne semble réaliste à court terme. Cela irait à l’encontre de règle déjà établie.

    Quelques informations supplémentaires :

  • Belgacom, Numericable, Telenet et Voo : des tarifs toujours aussi peu comparable

    Belgacom, Numericable, Telenet et Voo : des tarifs toujours aussi peu comparable

    Lors d’une discussion récente, j’ai repensé aux subtilités des prix chez deux câblo-opérateurs que sont Voo et Telenet. En effet, ceux-ci comptent des frais supplémentaires à ceux des packs. (suite…)

  • Ce que consomment les modems Belgacom b-box2

    Ce que consomment les modems Belgacom b-box2

    Après une mise à jour des consommation des décodeurs Belgacom TV, voici la version 2013 des consommation de la b-box2.

    Belgacom b-box 2

    Tout pour les décodeurs, l’équipement ici n’a pas changer. Des mises à jours logicielles ont eu lieu. Mais aussi un changement de l’appareil ayant fait les mesures. (suite…)

  • Mon combo idéal, du Windows 8 et de l’Android

    Mon combo idéal, du Windows 8 et de l’Android

    Thibaudd écrivait sur son blog une description sur son combo idéal : Moi & Apple: MacBook Air, iPad Mini, iPhone.

    Cela me donne enfin l’occasion de parler de mon combo idéal que j’ai enfin trouvé après des années.

    Auparavant, j’avais un trois appareils : un smartphone, une tablette et un ordinateur portable. Mais ça c’était avant. Le couple tablette et ordinateur portable avait pour moi un membre de trop. Pourquoi avoir deux appareils fort proche, mais qui par des fonctionnalités différentes m’obligeant justement à avoir une tablette pour consommer et un portable plus pour travailler voir créer.

    IMG_0716

    (suite…)

  • Ce que consomment les décodeurs Belgacom TV version 3/3b

    Ce que consomment les décodeurs Belgacom TV version 3/3b

    Avril 2011, j’écrivais l’article 53 Wh pour une installation Belgacom TV et Internet, 20 mois plus tard, en voici une mise à jour.

    Les équipements n’ont pas changé. Par contre, ils ont tous reçu une mise à jour logicielle. Est-ce mieux, est-ce pire ? On le verra dans l’article ci-dessous.

    (suite…)