VOICI DONC MES PHOTOS DE LA SEMAINE 36, UNE BONNE PARTIE ÉTANT UN PEU HISTORIQUE.
L’automotrice 916 a été la première AM86 à être rénovée en 2012. La voici en circulation sur la ligne 26/1 juste après l’embranchement avec la ligne 26.
Un chemin de bois au milieu d’un petit bois.
Aux alentours de l’embranchement entre la ligne 26 et la 26, une rame de M5 rénovée.
Le 5 janvier 2008, avant le dernier IC A de la journée vers Bruxelles, la gare de Liège-Guillemins en 2008 à l’époque encore en chantier.
Et ici depuis Botanique vers Rogier le 21 décembre 2008.
Lors de la visite du Network Operations Center de Belgacom, nous avons eu une vision du réseau actuel, mais aussi un aperçu de ce que sera le réseau de demain.
Le réseau filaire dédié à la voix
Ce réseau est vieillissant, et même s’ils fonctionnent encore parfaitement, celui-ci commence à poser divers petits problèmes. Comme trouvée des pièces de rechange pour les équipements qui le composent, ou pour sa gestion au quotidien. Ils vont donc totalement le moderniser.
Les conditions de la modernisation étaient d’avoir une gestion unique pour la plus grande partie possible. Tout en évitant de devoir passer les millions de clients, ce qui aurait un coût conséquent rien qu’en temps et en organisation.
Le tronc commun va être le passage au tout IP et à la gestion générale des lignes via des comptes SIP. Mais cette modernisation se fera de deux façons, d’une par les lignes analogiques, d’autres parts les lignes numériques.
A gauche un ROP pour le VDSL2, à droite un KVD ou transitent les lignes.
Les lignes analogiques de Belgacom
Nos bonnes lignes analogiques vont subir un grand bouleversement pour de Belgacom, et pourtant rien ne changera pour le client final.
Actuellement, les lignes analogiques chez Belgacom fonctionnent en ayant une paire de câbles torsadés allant du client jusqu’à une borne de rue. De cette borne, elle suit un chemin la menant dans une centrale (LEX). Dans cette centrale se trouve un grand nombre d’équipements permettant de connecter la ligne du client au réseau vieillissant de l’opérateur. Ces équipements ont pour les plus anciens, jusqu’à 30 ans.
Chaque centrale est connectée aux autres via un réseau complexe non centralisé ce qui permet de diminuer les problèmes en cas de panne, mais apporte de lourds moyens afin de le maintenir à jour.
En plus de son âge, ce réseau a le malheur de dédoubler le réseau de donnée utilisé dorénavant par à peu près tout le reste. Réseau où transitent les connexions Internet, Belgacom TV ainsi qu’une partie des données voix fonctionnant par un réseau IP.
Belgacom a donc décidé de moderniser ce cheminement afin de tout faire passer par le même réseau. Finis le réseau dédié, fini les grands centraux avec un grand nombre d’équipements. Tout va donc transiter par le réseau IP, et ce directement depuis les bornes de rues dédiées au VDSL2 (ROP).
Ces bornes vont dorénavant accueillir des équipements permettant de connecter la ligne du client au réseau de donnée (FXS). Du point de vue du client, celui-ci ne subira aucun changement. Aucun besoin de nouveaux équipements, de mettre à jour son installation ou de s’habituer à une nouvelle façon de faire.
Les lignes numériques de Belgacom
Concernant les lignes numériques (ISDN), les changements seront plus conséquents. Dans le futur, le client n’aura plus qu’une connexion DSL avec un modem de type b-box. On connectera derrière celui-ci un équipement nommé IAD.
Cet équipement aura comme fonction de simuler une connexion ISDN pour le client. Étant donné que dans ce cas-ci, l’opérateur devra intervenir chez le client. Cela pourrait prendre bien plus de temps.
Une seconde solution, c’est la connexion d’une fibre optique jusqu’au client, et la connexion d’un équipement permettant de simuler de l’ISDN directement dessus. La solution se nomme pour Belgacom ISDN AGW, et est à ma connaissance plus pour les grandes sociétés.
La solution alternative est le passage pour le client au tout IP via sa plateforme IMS. Ce qui supprimera l’interface ISDN.
Conclusions
Le réseau dédié à la voix sera petit à petit migré vers le tout IP. Fini les différentes technologies, les différents réseaux. Ce changement aura pour impact pour tous les cas de la diminution du nombre de bâtiments nécessaires à l’opérateur pour ces équipements. Seuls de grands bâtiments régionaux resteront à terme en plus des boîtiers de rue (ROP).
Voici donc mes photos de la semaine 35, une bonne partie étant un peu historique.
Vous connaissez le Tower Bridge ? Voici un des feu de signalisation en dessous d’une des tours du pont.
Une AM classique sur la ligne 96 à hauteur de la gare de Leembeek. Sur la gauche, on retrouve la LGV 1 en direction de la France.
La BN 7418 sur la ligne M1 en direction d’Anderlues à hauteur du boulevard Joseph Tirou.
L’ART 123 sur la ligne du tramway de l’Aisne lors d’une sortie spéciale en 2005.
La PCC 7766, la première PCC repeinte en nouvelle couleur. Elle a à ce moment-là un look particulier qui sera adapté par la suite. D’ailleurs, la photo est prise en Heysel avec l’Atomium en fond et surtout avec les anciens quais.
Lors d’une sortie spéciale du MTUB, nous avions visité le chantier du prolongement vers Delacroix. La photo a été prise sur le bâtiment surplombant la station. On retrouve au fond la tour des Pensions par exemple.
Le « Network Operations Center » (NOC) de Belgacom est probablement un des lieux les plus importants chez l’opérateur. Cette salle est la tour de contrôle de l’opérateur. L’endroit où on surveille en permanence le réseau de l’opérateur, mais aussi de ses filiales telles que Tango au Luxembourg et une partie des équipements de Scarlet.
Voici déjà quelques années que je fais des photos. Mais je n’ai jamais vraiment pris le temps de les partagées. Je me suis donc lancé il y a une dizaine de jours à en partager une par jour. Certaines sont en fonction du sujet, d’autre parce qu’elle représente quelque chose de personnel ou simplement une de mes passions.
Voici donc celles de la semaine 34.
Les château d’eau située Streekbaan à Vilvoorde, victime d’un incendie la nuit du 18 au 19 août 2013.
Un Thalys empruntant le pont au dessus de la Woluwelaan à Machelen sur la ligne 25N
Photos souvenir du Pavillon Meudon à Neder-Over-Heembeek
Photo souvenir de la Gare de Champagne-Ardenne TGV à Reims.
U A319 de la compagnie Easyjet à l’approche de Bruxelles-National.
Un Desiro ML de la SNCB quittant l’aéroport de Bruxelles-National sur la ligne 36C
Un incendie a eu lieu la nuit de dimanche 18 à lundi 19 août 2013, il s’agit d’un château situé Streekbaan à Vilvoorde.
L’endroit est un point important pour certains réseaux de téléphonie mobile. Le résultat a été de grosses perturbations pour les opérateurs pendant une partie de la journée.
Voici quelques photos faites ce lundi 19 août en fin d’après-midi. Il est encore moins beau qu’avant.
Après un mois d’utilisation, je vous livre les informations que j’ai récolté concernant la consommation de la b-box3.
Une belle b-box3
La b-box3 est sur papier un très bel ensemble :
Du WiFi a/b/g/n en 2,4 GHz et 5Ghz
Des ports gigabits
Le mélange des flux « Internet » et « TV » ne nécessitant plus deux réseaux internes (Sans changer la configuration de la b-box)
Un port USB permettant le partage d’un disque dur.
Certes, certains diront qu’elle est trop fermée, mais pour des utilisateurs normaux, elle s’avérera correspondre aux attentes. Sans oublier qu’elle permettra d’évoluer si besoin vers le fiber to the home par exemple grâce au port WAN intégré.
b-box3 en VDSL
La b-box3 que j’ai mesurée à :
une connexion active en VDSL2 à 450 m de l’équipement de rue de Belgacom
le WiFi actif
1 port connecté à un CPL pour la première Belgacom TV
1 port connecté à un câble RJ45 directement à un décodeur Belgacom TV
1 port connecté à un switch pour le réseau internet et le troisième décodeur Belgacom TV
Les consommations
Sortie de boite, avec les 2 réseaux WiFi actifs, la b-box3 consomme 11W environ.
Cette b-box3 à la particularité d’avoir 2 réseaux WiFi. Un fonctionnement à 2,4 GHz, le second en 5Ghz.
Désactiver, l’un ou l’autre, ou les deux fait que la consommation diminue pour arriver entre 9,7 et 10W.
Malgré une b-box mieux pourvue, la consommation de la b-box3 est entre 1 et 2 watts inférieurs à la b-box 2.
Concernant l’aspect financier, en reprenant les mêmes données de calcul que pour la consommation de la b-box 2, la facture diminue pour atteindre entre 13 et 14,5 € par an.
Au final
Malgré l’ajout des dernières technologies, la consommation de la b-box est légèrement plus faible que la b-box2. Certains diront que l’on peut toujours faire mieux. Mais c’est déjà pas mal.
Le 19 juillet, Google a lancé son « Chrome App Launcher ». Il s’agit d’un module permettant de lancer des webapp dans le navigateur Google Chrome directement depuis Windows.
Le principe
Auparavant, pour lancer les web applications « installés » dans Google Chrome. Vous deviez lancer Google Chrome, aller dans la liste des applications que vous aviez et la lancer. Cela n’était pas trop dérangeant si cette liste d’applications était votre page d’accueil.
Cette nouvelle fonctionnalité vient donc combler un certain manque dans le processus afin de le rendre plus facile, et ainsi le rendre plus populaire.
Comment l’installer dans Chrome ?
La première chose à faire, vérifier la version de votre Google Chrome. Vous devez posséder une version 28 minimum.
Une fois, installer, vous êtes dirigé vers une page en anglais. Cela indique que le lanceur d’application est bien installé.
Comment l’utiliser ?
Une fois installer, vous retrouvez dans votre barre des tâches une nouvelle icône.
Cette icône donne accès à une liste d’applications, un peu à l’image d’un menu démarrer à la sauce Windows 8.
Ce menu donne accès aux applications. Vous pouvez changer l’ordre des applications en les déplaçant avec votre souris. Ou encore, créer des raccourcis sur le bureau ou dans la barre des tâches.
Pour cela, il suffit de cliquer avec votre bouton droit de la souris sur l’application, et choisir de créer des raccourcis.
Choisissez ensuite ou vous souhaitez créer les raccourcis.
Le résultat ? Des raccourcis comme pour de vraies applications.
Pourquoi universelle ?
Google semble travailler sur un équivalent pour Mac OS et pour Linux. De quoi permettre aux développeurs d’avoir une partie des applications rapidement disponible sur diverses plateformes. En tout cas des applications étant principalement tourné vers internet, mais pas que.
Après 3 semaines, 21 étapes, 13 vainqueurs d’étapes différents, 5 porteurs de maillots jaunes, le 100e tour de France de vélo se termine.
La RTBF sur ce tour de France
La première chose, c’est bien sur le plaisir le tour devant ma TV sur la RTBF. Avec Rodrigo Beenkens, une sacrée référence, mais aussi un vrai journaliste. On apprend de belles choses que ce soit actuel ou historique. Il ose mouiller sa chemise et n’a pas peur de revenir sur de mauvaises informations. Sans oublier le consultant qui l’accompagnait, Cyril Saugrain, un ancien coureur cycliste français qui apporte ce vécu nécessaire dans ce genre de commentaire. Sans oublier bien sur les autres membres de l’équipe.
Christopher Froome
Voilà plusieurs années qu’on n’avait pas eu un aussi beau vainqueur avec une vraie course. On dira probablement dans le futur que le tour était déjà jouer après la 8e étape. Mais au final, il a dû se battre. On l’a vu aussi souffrir et même un peu perdre. Sans oublier qu’il a toujours été aux interviews. Peut-être un des premiers vainqueurs que j’apprécie.
Certes il y a cette polémique autour d’un possible dopage. Mais cela devient accessoire quand la course est aussi belle. Le futur nous dira ce qu’il en est de toute façon.
Sans oublier qu’il a toujours été très reconnaissant du travail de ses coéquipiers et surtout de Richie Porte.
Nairo Quintana
Ce jeune colombien est probablement le représentant des nouveaux coureurs. Ils ont du panache, ils se battent et n’abandonne jamais. Sans oublier qu’il décroche quand même pour son premier tour, une seconde place, le classement de meilleure jeune et surtout le classement de la montagne. Nous avons enfin un vrai vainqueur de montagne, pas un coureur de dos d’âne comme certains lors des dernières années
Les bons moments
J’ai aimé cette nouvelle génération qui a eu sa chance cette année.
De vraie étape disputée, malgré un tour joué très tôt virtuellement, le maillot jaune a été attaqué.
Un accord sur la 4G, voilà ce qu’a annoncé la ministre de l’Environnement de la région Bruxelloises, Évelyne Huytebroeck, ce vendredi 12 juillet 2013.
Petit retour en arrière
En 2007, le ministère de la région bruxelloise adoptait une ordonnance limitant à 3V/m les émissions électromagnétiques dans la région.
La limite est cumulative, aussi bien au niveau technologie que pour les opérateurs.
En simplifiant, chaque opérateur a droit à 25 % des 3V/m pour toutes les fréquences qu’ils utilisent, c’est-à-dire 900 , 1800 , 2100 et 2600 MHz.
Pourquoi 4 opérateurs ?
La réglementation actuelle tient compte des licences existantes. Hors outre Proximus, Mobistar et Base.
Une 4e licence existe pour la 3G que le duo Voo/Telenet a achetée.
Et la 4e licence en 4G est elle pour B-lite qui eux l’exploite.
Pourquoi 4 fréquences ?
À l’origine, chaque technologie avait sa fréquence.
La 2G avait la technologie GSM en 900 MHz et DCS en 1800 MHz
La 3G avec l’UMTS en 2100 MHz
La 4G avec le LTE en 2600 Mhz.
Oui, mais
Il y a certes 3 technologies et 4 fréquences. Mais en réalités, les technologies évoluant, des technologies peuvent utiliser d’autres fréquences.
La 3G est aussi déployée en 900 MHz dans certaines zones.
La 4G est déployée en 1800 MHz actuellement.
Dans les deux cas, les fréquences « réutilisée » permettent une meilleure propagation des ondes.
Sachant en plus que l’IBPT a lancé en 2013 la mise aux enchères de la bande de fréquences dans les 800 MHz compatibles avec la 4G.
Quelles est le problème actuellement pour la 4G ?
Les 3 grands opérateurs ayant développé un réseau sur Bruxelles ont déjà utilisé leurs 25 % pour couvrir la région du mieux possible en 2G et 3G. Mais voilà, beaucoup d’utilisateurs auront déjà remarqué, des problèmes actuellement. La raison est un besoin de diminuer déjà la puissance des antennes afin de rentrer dans la règle des 3V/m.
Dès lors, pour activer la 4G, les opérateurs devraient non seulement encore diminuer la puissance des antennes, mais en plus ajouter un grand nombre d’antennes. Or cette implantation est compliquée vu la réticence des riverains, mais aussi le coût que cela implique.
La question a été ouverte concernant la suppression de la 2G pour permettre la 4G. Le problème est ici double, non seulement la 4G ne permettent pas d’appels vocaux sur les réseaux actuellement implantés. Mais aussi, le nombre de téléphone ne supportant pas encore la 3G est beaucoup trop grand.
Comment semble se dessiner le texte qui sera adopté à l’automne ?
Pour régler ce problème, l’accord sur la 4G va prévoir deux volets.
Le premier est le comptage des fameux 3V/m par technologie. Chaque opérateur aura 3 fois 25 % des 3 V/m.
La question sera de voir comment ils vont réussir à transposer cela en texte de loi prenant en compte tous les cas de figure, en fonction de la technologie et des fréquences.
La seconde partie concerne la mise à dispositions des bâtiments publics pour l’implantation des antennes. Hors site sensible tel que des écoles ou des hôpitaux.
Une bonne façon d’avoir une rentrée d’argent vu le loyer demander aux opérateurs et des taxes de divers niveaux.
Les questions encore ouvertes
Est-ce que cette séparation en 3 compteurs va permettre aux opérateurs d’augmenter la puissance des antennes existantes en 2G et 3G ?
Comment se passera l’implantation réelle des sites ? Via de nouveau ou par l’ajout d’équipement sur les sites existants ?
Combien de temps faudra-t-il pour réellement voter cette loi si elle voit effectivement le jour ?
Est-ce que ce texte sera assez stable pour qu’elle ne soit pas cassée par le Conseil d’État ?
Et la dernière sera probablement de savoir combien de temps mettront les opérateurs pour couvrir la région vu le retard accumulé ?