Avec le temps, vous vous inscrivez à un grand nombre d’applications Facebook. Que ce soit des jeux, des applications sur vos smartphone ou tablette ou sur des sites internet. Il arrive un moment où vous n’utilisez plus cette application, parce que vous n’en avez plus l’utilité, vous n’avez plus confiance… mais malheureusement ne plus l’utiliser ne suffit pas. Dans la majorité des cas, vous avez permis à l’application de se connecter à votre « compte » Facebook sans que vous ne fassiez une manipulation, et souvent sans même le savoir.
Un nettoyage s’impose afin d’empêcher un problème, que cela soit un simple bug ou un « piratage » de votre compte par une application compromise.
Supprimez l’autorisation ne va pas supprimer les informations déjà en possession de l’application, ou alors très rarement. L’avantage : vous pouvez supprimer un accès et le mettre ensuite sans rien perdre. Le désavantage : l’application détient peut-être déjà beaucoup (trop ?) de donnée.
Voici la procédure pour nettoyer vos applications Facebook
1. Connectez-vous sur votre Facebook. Aller en haut à droite sur la roue dentée afin d’ouvrir le menu de paramètres.
2. Cliquer sur « Compte » afin d’entrer dans vos paramètres.
3. Dans le menu de gauche, sélectionner « Applications »
4. Vous vous retrouvez maintenant devant une liste reprenant toutes les applications auxquelles vous avez autorisé divers accès. N’oubliez pas de cliquer sur « Affichez toutes les applications » 😉
5. Repérez dans la liste ceux que vous utilisez constamment, et supprimez toutes les autres.
Pour supprimer tous les droits donnés à une application, vous devez ensuite cliquer sur « modifier » à droite du nom dans la liste, ensuite en dessous sur « supprimer l’application ».
5 bis. Il est également possible de supprimer l’application avec la croix située à droite dans la liste des applications
Update 2 octobre 2013 :Plug à semble-t-il fait une adaptation de l’horaire. Touche pas à mon poste est maintenant théoriquement de 19h20 à 21h.
Hier soir, je regardais l’émission « Touche pas à mon poste » qui est diffusée depuis la rentrée sur Plug RTL. Émission débutant à 19h et se terminant théoriquement à 20 h 25.
Mais depuis quelques jours, l’émission commence de plus en plus tard, sachant qu’en plus l’émission dure souvent bien plus longtemps que prévu, elle s’est terminée à pratiquement 21h.
Vous allez me dire, qu’est-ce que cela change. Et bien mon tweet en live le résume.
Plug RTL qui annonce un "Ce soir à 20h40" … à 21h07. Tout va bien #RTL
A l’heure ou la technologie permet de tout faire, que tout ce qui suit à déjà un temps connu, comment une « annonce » peut-elle être aussi « fausse ».
Je peux comprendre que la raison est probablement liée au pub et au besoin de ne pas perdre au moins temporairement des téléspectateurs qui pourraient ne pas revenir.
Mais un ce soir, après « Un gars, une fille » serait qui sait peut-être plus « respectueux » si le planning à du retard à défaut de l’horaire réel calculé.
Au final, le programme de 20 h 40 commença avec 40 minutes de retard.
Comme tous les six mois environ, j’analyse mes différents abonnements que j’ai et ce qui est proposé sur le marché. J’ai donc décidé de changer ma carte prépayée Proximus Generation Connect en un abonnement Base Check.
Ceux qui sont intéressés par l’offre, je leur conseille un petit passage par le site de base. Ce qui est intéressant, c’est que commander via le site offre non seulement une réduction de 3 € par mois, mais un service complet à domicile.
Le déroulement de mon passage chez Base
J’ai commandé via le site le 16 septembre 2013, réception d’un certain nombre d’informations et de mail de confirmation.
Le 19 septembre 2013 au soir, je reçois un mail du service logistique de base me demandant de choisir une plage horaire le lendemain pour me livrer la carte simplette signé le contrat.
Le 20 septembre 2013, je reçois un SMS me signalant le passage du livreur 30 minutes plus tard. Un premier uniquement en néerlandais (sic), mais les suivants en français ou bilingue.
30 minutes plus tard, contrat signé et scanné avec ma carte d’identité, ma nouvelle carte sim en poche. Je suis prêt pour le portage que j’ai prévu le 23 septembre.
Le 23 septembre 2013, vers 9 h 30, ma carte Proximus n’est plus active. Je change ma micro-sim dans mon smartphone et me voilà actif chez Base.
Ce 24 septembre 2013 au matin, je reçois un petit mail de bienvenu avec quelques conseils tels que le 1913 pour consulter le solde des avantages restants.
Conclusion
J’avoue être agréablement surpris, je vais payer moins cher en passant par internet, « Base » est venu à moi pour la gestion administrative et surtout je n’ai eu aucun problème lors de cette activation. Reste à voir la facture, mais c’est une autre histoire.
Update 2 octobre 2013 : la Fnac à publié un nouveau design de son site internet, et ce problème à été résolu par la même occasion.
Tentative de connexion sur fnac.be avec un smartphone Android
Première chose que l’on rencontre en s’y connectant, c’est une page me vantant deux applications « Fnac.com » ou me demandant si je veux continuer via internet sur deux sites Fnac.
La première application est liée au premier lien et semble renvoyer vers Fnac.com.
La seconde application et le second lien sont eux dédiés à la billetterie de la Fnac.
Les FAIL
Autant vous dire directement, les applications sont destinées au marché français et ne fonctionne malheureusement pas avec un compte Fnac belge.
Mais ça se complique quand vous cliquez sur « Continuer sur Fnac.com ». Vous terminez sur une belle page de page introuvable.
La solution
Faire passer le navigateur mobile pour un navigateur d’ordinateur.
Un jour le web mobile sera en tête des préoccupations... un jour
iOS 7 arrivera sur les iDevices le 18 septembre, mais la version gold master est disponible depuis le 10 septembre. Je l’ai donc installée sur un iPad mini avec une mise à jour depuis iOS 6.
La gold master est la première version d’iOS 7 telle qu’elle sera visible par les utilisateurs finaux, et non plus les développeurs et autres iBidouilleurs. De quoi parler réellement de ce que j’aime et ce que j’aime pas dans cette nouvelle version.
J’aime
… la nouvelle version de l’écran de verrouillage et surtout de l’affichage des notifications. Trois pages sont maintenant dédiées aux différents types de notifications? Via un calendrier, via une liste et les notifications manquées.
Fini la petite barre pour déverrouiller et bienvenu au déverrouillage sur toute la surface de l’écran.
Je n’aime pas
… l’affichage des dossiers d’applications sous iOS7. Chaque dossier est limité à 9 applications par page. Mais par contre, 135 applications peuvent être mises par dossier, ce qui fait 15 pages.
Malheureusement, le type d’affichage choisi laisse un grand vide. Un aspect plus beau, mais qui implique une perte d’énergie pour avoir accès aux applications suivantes.
J’aime
… les nouvelles fonctionnalités liées à l’App Store sous iOS7. Fini de devoir vérifier les mises à jours régulièrement, et surtout de devoir noter quelque part quelles applications a été mises à jour.
L’App Store permet dorénavant de mettre à jour automatiquement les applications, et garde en plus un historique des mises à jour récentes avec la date.
Je n’aime pas
… la distinction entre les applications « iOS 6 » et « iOS7 » concernant l’intégration dans le système.
Le clavier s’affiche à l’ancienne sur les applications non encore optimisées iOS7 et le nouveau sur celles qui le sont déjà. Ce qui donne un effet bizarre. Sans oublier le clavier encore différent pour les applications « iPhone ».
J’aime
… l’affichage des applications iPhone sur iPad qui est dorénavant en standard agrandies, mais en ayant éliminé l’effet de pixelisation.
Flickr par exemple affiche dorénavant les photos avec une meilleure résolution malgré que l’application soit iPhone uniquement. De quoi diminuer la frustration d’avoir des applications qui ne sont pas disponibles au format iPad.
Je n’aime pas
… l’absence d’une application météo officielle sur iPad alors qu’une existe sur iPhone. Mais heureusement ce problème se règle vite en allant sur l’App Store. Mais la seule ayant un beau look pour moi est celle de Yahoo et n’est également pas disponible au format iPhone.
J’aime
… cet aspect général de légèreté et qui se limite à l’essentiel. Fini toutes les fioritures graphiques inutiles qui prennent énormément de place et surtout qui agrippent les yeux lors d’un balayage d’écran.
Le signal de Base commence à être visible en 4G au nord de Bruxelles à la limite de Vilvoorde. Voici la constatation que j’ai eu l’occasion de faire aujourd’hui.
Le réseau n’étant pas encore officiellement lancé, les antennes émettent le signal, mais les clients ne peuvent probablement pas s’y connecter. (Je n’ai pas de carte sim Base pour le vérifier.)
A l’approche du premier anniversaire du lancement commercial de la 4G chez Proximus. Ou on se demande où en est Mobistar. Base semble tenir sa promesse de rapidement déployer la 4G.
Reste à attendre le lancement commercial.
Après l’enquête de test-achat, un second signe que Base est le second opérateur du pays.
L’opérateur national prépare actuellement la mise en place de son réseau pour le futur. Un des aspects est probablement un passage complet des utilisateurs sur son réseau VDSL2. Même si cela n’est pas encore clairement détaillé, plusieurs indices peuvent le faire penser. Comme la disparition des LEX, la mise en place de ligne téléphonique analogique via une émulation et le rassemblement des connexions dans les boîtiers de rue (ROP).
Mais tout cela ne se fera pas en un jour, et cela prendra probablement plusieurs années. D’autres aspects de la modernisation sont pour 2014 et permettront de voir venir les années de façon plus sereine pour l’opérateur.
Au niveau VDSL, divers changements sont à venir. comme la mise à jour du système des lignes, mais aussi la mise en place du réseau IP de demain.
le VDSL2 vectoriel
Le VDSL2 vectoriel est la dernière technologie que l’opérateur développe actuellement avec la société Alcatel-Lucent. Cette technologie va permettre de s’attaquer à un des deux facteurs ayant une influence sur la qualité d’une connexion VDSL2.
Le premier facteur étant la distance entre l’équipement de l’opérateur et équipement chez le client. Ce problème a été réglé en déployant les équipements de l’opérateur dans des boîtiers en rue bien plus proche du client.
Le second facteur est le bruit présent sur une ligne suite aux autres lignes avoisinantes. Ici la solution est plus complexe et se règle comme pour les casques antibruit actifs. Les équipements de l’opérateur seront ainsi équipés de processeur permettant de générer un bruit inverse à celui présent sur la ligne et ainsi l’annuler. Sachant qu’un boîtier de rue peut comporter jusqu’à 200 lignes, celui-ci devra par ligne générer un bruit inverse tenant compte des 199 autres.
Le but est toujours le même, offrir une ligne plus stable afin d’offrir les meilleurs débits possible vers le client final.
l’IPV4 via CGN
Toute personne ayant suivi la presse informatique aura probablement déjà pu lire que le nombre d’adresses IPV4 sur le marché est épuisé. L’organisme en charge de l’attribution des adresses (IANA) à distribuer les dernières aux organismes des différentes régions du monde. Et d’ici peu de temps, ces mêmes organismes auront distribué eux aussi les dernières à leurs clients que sont principalement les opérateurs et les hébergeurs.
Actuellement, sans CGN
Pour éviter de devoir arrêter de vendre des connexions internet, Belgacom a décidé d’appliquer le principe du partage. Une adresse IP publique ne sera ainsi plus utilisée par modem chez tous les clients, mais une adresse IP publique sera partagée entre plusieurs clients. Ce partage se fera via une traduction d’adresse au niveau opérateur ou « Carrier Grade Nat ».
Le principe du NAT permet d’avoir une adresse publique partagée entre plusieurs dispositifs. Actuellement lorsque vous vous connectez derrière votre b-box, vous avez une adresse qu’on appelle privé. Cette adresse connue uniquement dans votre propre réseau ne vous permet pas de recevoir directement une réponse du monde extérieur. Le mécanisme du NAT permet de réserver un port à travers lequel transiteront les requêtes et les réponses d’une destination prédéterminée. Lorsque le modem recevra un message du monde extérieur sur ce port, il le transmettra au dispositif dans votre réseau.
Ce mécanisme sera appliqué dans le futur également au niveau de l’opérateur afin de partager les adresses publiques. Nous aurons ainsi un double NAT ou NAT44.
Heureusement, les personnes qui ont besoin d’une vraie adresse publique auront la possibilité de désactiver le CGN via une option qui sera à termes disponibles dans les e-services.
Il faut savoir que ce mécanisme est par exemple déjà en place chez certains opérateurs de téléphonie mobile.
Dans le futur, avec CGN
l’IPV6
L’IPV6 est ce qui fera un réseau IP de demain. Et nous approchons rapidement de demain. Belgacom prévoit ainsi le lancement de l’IPV6 pour 2014. Mais qu’est-ce que réellement l’IPV6 ?
L’IPV6 est une nouvelle version du protocole IP supportant des adresses IP de 8 groupes de 4 nombres hexadécimaux. Le but est simple, supprimez tous les problèmes liés à IPV4 atteignant l’âge de 30 ans.
Les principaux avantages de l’IPV6 qui vient à résoudre certains problèmes sont :
L’attribution d’une adresse qui sera toujours « publique ». Bien sûr, il y a des exceptions comme les adresses de lien-local remplaçant dans un sens les adresses MAC. Les adresses IP qui seront à usage exclusif interne à un réseau.
La disparition des mécanismes de NAT et tous les problèmes qui pouvaient en découdre.
J’aurai probablement l’occasion de revenir plus en détail sur l’IPV6 dans les prochains mois. Mais au niveau détails pour Belgacom. L’IPV6 ne sera disponible que via les b-box de 3e génération chez Belgacom. Chaque client recevra un paquet d’adresse en /56. Ce qui correspond à 255 sous réseaux de 18 446 744 073 709 551 616 adresses IP. Vous n’aurez pas assez de cheveux dans votre famille pour avoir une adresse par cheveux 😉