Facebook se rend inutile

Facebook

Facebook, le réseau social coté en bourse ayant plus d’un milliard d’utilisateurs. Ce fameux réseau social voulant rassembler famille, amis et collègues. Le réseau connu par son pouce vers le haut signalant des « j’aime ».

J'aime

Malgré son caractère fourre tout, Facebook était à l’origine un très bon outil. Il permettait de rester en contact avec sa famille, ses amis ou d’anciens camarades de classe. Ensuite sont venues les pages pour les comptes impersonnels. Mais avec le temps, un certain nombre de changements l’ont rendu bien moins utile. Je vois pour ma part deux principales raisons. Le design du site pour les pubs et les filtres pour nous présenter les informations que l’on veut.

Le design du site

Facebook a depuis sa création connu un grand nombre de mutation graphique. Si les améliorations apportées aux sites ont été agréables. Il faut bien avouer que les dernières adaptations ont eu comme but de mieux vendre du contenu payant. Que ce soit les actualités sponsorisées ou via l’affichage de publicité.

Facebook a annoncé au printemps 2013, une refonte du fil d’actualités. Cette nouvelle version nommée newsfeed n’est pourtant toujours pas accessible à la majorité des utilisateurs. Pourtant certains changements y sont fort agréables d’après ce que montre la présentation. Même si l’entrée en bourse de Facebook risque de ne rien arranger à la recrudescence de publicité sur le portail.

Les filtres

Le plus gros point négatif est probablement la mise en place d’un grand nombre de filtres par le portail. Si les premiers sont ceux que nous gérons nous même, les seconds sont des filtres « intelligents » qui ont pour but de nous montrer que ce qui nous intéresse… enfin normalement.

Ces filtres intelligents se basent sur les interactions que vous avez avec vos amis et les différents pages que vous aimez pour afficher ce qui pourrait potentiellement vous intéresser. En exagérant à peine, si vous n’aimez jamais le statut d’une personne, vous aurez rapidement plus aucune nouvelle de cette personne via Facebook, sauf en allant sur son profil. La même chose avec les pages que vous aimez.

Avec un aspect supplémentaire, les articles sponsorisés. Ainsi un élément mis sur Facebook ne sera jamais vu par toutes les personnes qui aiment la page ou qui sont amies avec la personne. Seule une partie le verra dans leur fil d’actualités. Pour toucher la majorité des utilisateurs, les personnes devront payer pour apparaitre dans le fil d’actualités.

Si l’aspect monétaire est probablement un bon moyen de monétiser l’utilisation du réseau, le faite qu’un utilisateur ne puisse pas à coups sûrs voir toutes les publications est dans mon cas un gros problème, vous risquez à tout moment de louper une information pouvant être intéressante.

Comment je fais ?

Si à un moment j’avais abandonné l’usage de fil RSS et la visite directe des sites. Ce n’est maintenant plus le cas, j’utilise à nouveau énormément les RSS via feedly que je consulte principalement sur ma Nexus 7.

Ensuite, j’ai créé une liste spéciale sur Twitter qui s’affiche dans une colonne séparée de mon Tweetdeck pour suivre des comptes de société. Régulièrement, les informations présentes sur Facebook le sont aussi sur le compte Twitter de la société avec un lien vers la page Facebook ou mieux encore directement sur le site.

Dans certains cas, les sociétés ont été jusqu’à créer une page sur Google+, qui là ne filtre pratiquement pas, au pire je dois me rendre sur l’onglet page pour avoir les news. Cela reste qu’une seule page à visiter, et pas des dizaines.

D’ailleurs les personnes me suivant sur Facebook l’ont sans doute remarqué, à part l’envoi de lien vers mes articles, je ne mets pratiquement plus rien dessus. La raison n’est que j’y vais pratiquement plus du tout non plus. Mais je vous rassure, je vis encore très bien. Twitter ayant dans un sens pris le relais.

Déployer des imprimantes par GPO – Point and print restrictions

GPO« Point and print restrictions » va vous aider à déployer des imprimantes par Group Policy dans un environnement Windows. Vous devrez pour cela déployer les imprimantes connectées à un serveur d’impression. Celui-ci possédera les pilotes pour les différentes plateformes présents dans le réseau.

Déployer les pilotes impose à l’utilisateur d’accepter l’installation en tant qu’administrateur locale de la machine. Or ce droit n’est en général pas donné à un simple utilisateur. Mais Microsoft a pensé à une solution sécurisée dans les droits permettant tout de même d’installer les pilotes, et cela sans aucune intervention de l’utilisateur.

La solution se trouve dans les Group Policy sous le paramètre « Point and print restrictions ». Cette solution est possible avec les serveurs Windows 2008 à Windows 2012 R2.

Attention, à partir de Windows Vista SP2, c’est le paramètre qui se trouve dans la partie « Computer » est pris en compte. Avant, c’est le paramètre au niveau « User » qui est pris en compte.

Group Policy Management

Rendez-vous dans le gestionnaire de Group Policy. Sélectionnez une GPO ayant une incidence sur les ordinateurs, ou crée une nouvelle.

Group Policy Management

Editer la Group Policy.

Group Policy Mangement Edit

Point and print restrictions

Rendez-vous dans les paramètres permettant la gestion des imprimantes. Cela se trouve dans :
Computer Configuration > Policies > Administrative Template > Printers

Sélectionnez le paramètre « Point and print restrictions » et cliquez deux fois dessus pour l’éditer.

Group Policy Management Editor Point and Print Restrictions

 

Activez le paramètre et remplissez les paramètres en fonction de vos besoins.

Pour ma part, j’ai configuré comme suit :

  • Activer le paramètre « Users can only point and print to these serves »
  • J’ai encodé la liste des serveurs d’impressions à partir duquel j’autorise le téléchargement des pilotes.
  • J’ai désactivé la demande d’élévation de privilège et l’affichage de popup pour une installation transparente.

Point and Print Restrictions

 

Le paramètre est bien actif.

Group Policy Management Editor Point and Print Restrictions Enabled

 

On peut ensuite voir le résumé dans l’onglet « Settings » du gestionnaire de Group Policy.Group Policy Mangement Settings

Aller plus loin avec les GPO

L’Ordonnance 4G est approuvée à Bruxelles

Region FR RGBEn cette fin de mois de janvier, le parlement de la Région de Bruxelles-Capitale à approuver la nouvelle Ordonnance modifiant le cadre légal permettant le déploiement de la 4G dans la région. Il reste une petite étape avant qu’elle soit enfin effective, la publication au moniteur.

L’ordonnance en détails

Ordonnance A-466

Les normes d’émissions

La première partie de l’ordonnance concerne l’assouplissement de la norme d’émissions afin de permettre le déploiement de la 4G. Elle passera de 0,024 W/m² (3 V/m pour le 900 MHz) à 0,096 W/m² (6 V/m pour le 900 MHz).

Cet assouplissement va permettre aux opérateurs d’enfin offrir dans la capitale de l’Europe la dernière technologie en date. Qui pour rappel était la seule zone où cela n’était pas possible d’après les opérateurs. Mais cet assouplissement pourrait permettre aux opérateurs de légèrement aussi améliorer la couverture en 2G et 3G à certains endroits.

D’ailleurs Proximus le confirme ce lundi sur sa page facebook.

Proximus-Ameliorations-3G

Le permis d’environnement

Cette nouvelle ordonnance à d’autres aspects plus méconnus que le simple assouplissement des normes d’émissions. La région a décidé de changer une partie de la procédure administrative liée à l’obtention du permis d’environnement. Une nouvelle classe de permis va être créée (Classe ID). Elle sera fort proche de l’ancienne classe (Classe 2), mais aura comme point de différence une délivrance dans les 30 jours et plus dans les 60.

Le site de la région représentant le cadastre des antennes va être légèrement modifié afin d’être plus complet et de permettre aux citoyens d’introduire des remarques et des réclamations. Ce site reprendra également le rapport des experts ayant évalué la bonne application de l’ordonnance.

Comité d’experts

Comme cela avait été communiqué au départ, cette ordonnance va mettre sur pied une mission d’expert chargé d’évaluer la bonne mise en œuvre de la réglementation. Un rapport annuel sera remis annuellement au gouvernement bruxellois. Celui-ci sera aussi publié sur le site de Bruxelles Environnement.

Ce comité d’experts pourrait donc vraisemblablement remettre des recommandations afin d’adapter la réglementation et ainsi éviter le problème que vient de connaître pendant plusieurs années la région.

Cadastre des toits

Le quatrième point de l’ordonnance va imposer à la région de réaliser un cadastre des toits des bâtiments publics. Ce cadastre reprendrait les sites susceptibles d’accueillir des antennes pour les opérateurs et ainsi rendre plus facile le déploiement de la région. De quoi permettre également à la région d’avoir des rentrées d’argent supplémentaires.

Plus d’informations

Playstation 4 ou Xbox One ?

PS4-XboxOne

Les deux grosses consoles Next-Gen sont sorties il y a maintenant deux mois. Enfin quand je dis sortie, ce n’est pas tout à fait exact. Si mondialement les deux consoles sont bien présentes, en Belgique c’est une autre histoire. Alors, Playstation 4 ou Xbox One ?

PS4

Si la console de Sony est sortie en Belgique le 29 novembre comme dans les autres pays à travers le monde. Cette PlayStation 4 reste introuvable dans le commerce. Tous les sites de commerces en lignes annoncent des délais pouvant aller jusqu’à 4 mois. Et cela ne risque pas de s’arranger à court terme.
Xbox One
La console de Microsoft à contrario n’est pas encore sortie sur le marché belge. Cette Xbox One n’a pas encore eu droit à une annonce officielle sur sa date de commercialisation dans notre pays. Pourtant elle commence à être facilement trouvable dans les commerces français.

Un choix de disponibilités

Étant du genre « Early adoptée », la question du choix de la console se pose grandement. D’un certain point de vue, que Microsoft n’ait pas jugé utile de le vendre sur le marché belge dès le départ, me déçoit un peu. Et même si les sites de commerces français livrent en Belgique, je n’ai pas envie de moi faire l’effort de me procurer le produit dans un autre produit. Sachant qu’une partie des services ne seront pas accessibles.

Pourtant, cette Xbox One à de bons arguments pour elle. Microsoft a clairement voulu faire une box multimédia complète. Plateforme de jeu, plateforme multimédia et plateforme dédiée à la télévision grâce à l’entrée HDMI.

La PlayStation 4 est elle déjà disponible sur notre marché avec les services déjà lancés. Par contre elle est introuvable dans le commerce que ce soit de rue ou en ligne. Cette console est pourtant sur papier la plus puissante. Elle est aussi la moins chère, même avec la caméra disponible séparément.

Un choix de raison

Toutefois, si l’envie est là, objectivement j’avoue avoir un doute sur la réelle nécessité d’investir si tôt dans une nouvelle console. J’accroche réellement à un voir deux jeux par an (hors jeu Mario sur Wii U). Et le dernier a été Assasin’s Creed 4. N’ayant vu aucun nouveau titre me passionnant vraiment, à part racheter le jeu sur la nouvelle console, seule l’envie de l’avoir reste présente. Sachant qu’en plus les consoles consomment bien plus que les anciennes, remplacer ma PS3 qui fait lecteur par une Next-Gen ne me ferait rien gagnez.

Je crois au final, et en écrivant cet article je m’en suis convaincu, je vais encore attendre avant de réellement craquer pour une nouvelle console. Attendre un titre qui justifiera pleinement cet achat qui est au final quand même assez conséquent.

Prenez le controle de vos notifications Android avec lightflow

LightflowJ’utilise au quotidien le smartphone Nexus 5. Celui-ci est équipé de la dernière version d’Android, la version 4.4.2 alias KitKat.  Si le système standard de notifications fonctionne très bien, une chose plus particulière est problématique. Je parle de la LED de notifications. Son fonctionnement est assez rare et on sais au final pas trop quand elle sera utilisée. Lassé de ne pas profiter de cette fonctionnalité, et profitant des possibilités offertes par Android. Je me suis mis à la recherche d’une application me permettant de prendre le contrôle de la LED de notifications. Qui outre la prise en charge de la LED, prends au final le controle de toutes les notifications du smartphone.

Cette application existe en version Lite et en version complète qui coûte 1,75€. Les applications prisent en charge étant la différence principale entre les deux versions.

Le fonctionnement est assez simple, vous sélectionnez l’application ou le service dont vous souhaitez gérer les notifications dans celle prise en charge. Vous avez ensuite le choix de gérer outre la LED, les sons, le vibreur mais aussi la possibilité d’allumer pendant 5 secondes l’écran. Des profils existent par exemple lorsque la batterie est faible, quand le smartphone charge ou pendant les heures de sommeil prédéfinies

Light Flow Lite Home

L’écran d’accueil de lightflow, permettant un accès facile aux 5 sous sections de l’application

Light Flow Lite Notifications

Lorsqu’on sélectionne “Notifications” dans l’écran d’accueil, nous arrivons sur une page présentant les différentes applications et leurs fonctionnalités ou la configuration des alertes peut être définie de façon plus fine grâce à Light Flow.

Light Flow Lite SMS Notification

Pour chaque application, nous avons 6 sous écrans de configuration des paramètres de notifications. Le premier permet une configuration générale des notifications de l’applications.

Light Flow Lite SMS Voyant

Le second permet une configuration de la led de notifications. Attention, la compatibilité varie en fonction des appareils.

Light Flow Lite SMS Sons

Le troisième écran permet une configuration des sons de notification.

Light Flow Lite SMS Répéter Sons

Le quatrième écran permet la configuration de la répétition de la notification sonore.

Light Flow Lite SMS Vibreur

Le cinquième permet la configuration du vibreur

Light Flow Lite SMS Répéter Vibrations

Et le sixième et dernier permet la configuration de la répétition du vibreur

J’utilise réellement l’application que depuis quelques jours, mais je n’ai pas vu de grand changements au niveau de l’autonomie de mon smartphone. Allumer régulièrement l’écran de son smartphone pour vérifier qu’un message est arrivé consomme au moins autant si pas plus d’énergie que l’utilisation de la LED lorsqu’un message arrive.

Light Flow Lite
Light Flow Lite
Développeur: Reactle
Prix: Gratuit
Light Flow
Light Flow
Développeur: Reactle
Prix: 2.00 CHF

2014, l’année de la 4G à Bruxelles mais un gros chantier en vue

Bruxelles pourrait être comparé au village gaulois résistant à l’envahisseur romain, car la capitale de l’Europe est la seule région à ne pas encore pouvoir déployer la 4G, d’après les opérateurs.

Heureusement, et sans revenir sur la polémique sanitaire qui entoure tout le débat, un pas décisif a été fait mi-décembre 2013 afin de permettre le déploiement. Grâce à une adaptation des règles de l’ordonnance datant de 2007.

Si ce point va permettre de régler la partie « légale » du problème, une fois la publication au moniteur,  il restera énormément de travail à faire par les opérateurs. Si une partie doit déjà être faite ou en cours, tout ne se fera pas en un jour.

Base 4G

Les sites d’antennes

La première étape à prévoir est bien sûr de trouver un endroit intéressant pour y placer les antennes et les équipements indispensables aux fonctionnements de celles-ci et ensuite de trouver un accord avec le propriétaire. Cela peut-être un tout nouvel endroit, un endroit où l’opérateur est déjà présent, ou un endroit ou un autre opérateur est déjà présent.

Vient ensuite la partie demandant l’obtention des différents permis. Les opérateurs doivent dans tous les cas obtenir un permis d’environnement. C’est où sera vérifié que les normes électromagnétiques sont bien respectées. Un second permis doit éventuellement être demandé, il concerne le côté urbanistique.

Après la partie plus administrative vient l’implantation plus pratique via le côté technique. Antennes, systèmes de gestion, ligne de connexions au cœur du réseau sont les différentes parties nécessaires à l’implantation de la 4G.

Dans un premier temps, les opérateurs privilégient l’implantation de la 4G sur des sites existants. La fréquence actuellement utilisée est le 1800 MHz. Fréquences que les trois opérateurs utilisent déjà pour leurs réseaux 2G, mais pas forcément partout. Il leur faut soit rajouter une connexion au nouvel équipement 4G ou alors installer des antennes supportant le 1800 MHz. Via un remplacement ou une nouvelle à côté des autres.

De l’antenne, le signal passe ensuite dans les différents équipements faisant le lien entre votre équipement et le cœur du réseau de l’opérateur. Les équipements doivent donc être mis à jour pour supporter la technologie 4G et ensuite la fréquence utilisées pour la 4G. Si un site venait à être déployé en 4G via plusieurs fréquences, une partie des équipements devra être spécifique à chaque fréquence.

La dernière partie d’un site d’antennes est le lien avec le cœur du réseau, la bande passante utilisée pour la 4G étant bien plus important que la 3 G et surtout que la 2G. Les opérateurs doivent prévoir une connexion permettant d’exploiter pleinement la 4G. Que cela soit via des fibres optiques ou des faisceaux hertzien. Même si dans ce cas, les technologies évoluent, les systèmes ayant été mis en place pour la 3 G pouvant parfois suffire.

Mobistar 4G

Cœur du réseau

Cette partie est déjà en place chez les opérateurs étant donné qu’ils ont chacun déjà lancé leurs réseaux 4G dans les autres régions de Belgique. Toutefois, des adaptations sont à prévoir que cela soit un simple remplissage de base de donnée à d’éventuelles mises à jour du système.

Il leur faudra prévoir d’éventuelles mises à jour des connexions et des bandes passantes afin de gérer l’afflux de la demande d’un million d’utilisateurs potentiels en plus, mais aussi des serveurs chargés de gérer le transit des informations ou de la sécurité. Sans oublier la partie facturation et commerciale qui doivent déjà être prêtes.

4G

En 2014

Il reste donc du travail pour permettre la 4G à Bruxelles. Entre le côté administratif et le côté technique, cela permettra uniquement d’avoir un semblant de réseau. Les opérateurs ayant annoncé que pour avoir un vrai réseau 4G en suivant les normes, le nombre de sites d’antennes dans la région va devoir augmenter. Ce qui dans ce cas là, imposera un suivi complet de toutes les étapes expliquées ci-dessous (de façon simplifiée).

On n’oubliera pas le coût de toute cette implémentation qui devra se faire avec la diminution des prix imposés par les différents organes tels que l’IBPT ou l’Europe et l’augmentation des quotas des connexions internet sans augmentation de prix.

Un délai de deux ans pour avoir un réseau utilisable n’est donc pas illusoire, la patience sera encore de mise cette année.